Je suis arrivé ici tout à fais par hasard, du moins pas n’importe lequel de hasard, est-ce sensé ce produire, un dieu et un mortel ? Je ne suis pas fais comme tous ces mortels, j’ai des capacités bien distinctes, tel que contrôler l’eau. Tout ceci me parait logique, mon père est Poséidon, le dieu des océans. Quel mécanisme étrange que ceux des humains, un assemblage de moteur qui déraille sans arrêt. Pour rester soi même dans un monde qui s’évertue jour et nuit à vous rendre comme n'importe qui, il faut gagner la plus rude bataille qu'un humain puisse livrer et cette bataille n'a pas de fin.

Elixya Orphea Swann - L'art d'être une demi-déesse.



CHAPITRE I ; il y a toujours un commencement.



Le commencement, quel étrange mot, en y réfléchissant d’avantage, avons-nous réellement commencé un jour, celons quelques théories il semblerait que nous vivions depuis des millénaires pour chacun d’entre nous, nos corps n’étais pas crée mais notre âme n’a jamais cesser d’exister, depuis l’aube des temps.

« Elle s’appellera Orphea. » cette phrase venait de gronder dans l’hôpital, ma mère, Anathais Stewart venait de me mettre au monde, à son chevet, mon père. Ce fut la dernière fois et première fois que je le voyais.

Je grandis entourée de l’amour de ma mère, bien entendue, mon père était un vague sujet de discussion, je voyais qu’elle n’était pas très à l’aise et que ça lui faisais encore mal, alors je me taisais, attendant sagement qu’elle m’en parle d’elle-même. Petite, j’étais déjà très active, un vraie Bou en train, c’est simple on ne pouvait se risque de détourner le regard ne serais-ce que cinq secondes. Il suffisait de peu de temps pour que la tornade Orphea se déplace. Ce qui me différencier de tout autre enfant, ce sont mes pouvoirs, ma faculté à contrôler l’eau sans faire d’effort. Je me suis toujours plus ou moins considérée comme une énergumène, il faut dire, ma mère avait peut-être oublié de me dire que mon père n’étais pas tout à fais humain lui non plus. De ce fais, je n’ai jamais pu être normale, aller à l’école avec des gens normaux était impossible, je du donc intégrer le camp des sangs mêlés. Ce qui était d’autant plus différent c’est que ce n’étais pas une simple école, ils ne se contentaient pas de nous enseigner les matières tel que français, histoire, mathématique, il n’en était rien de tout ça. Là bas, nous apprenions à contrôler nos dons, nous étions quelques dizaines, puis vingtaines et je crois que c’est à ce petit nombre que nous avons stagné. Les dieux ne sont pas reconnus pour leurs fidélités, comme nous disent nos enseignants qui ne sont autre que centaures et satyres, il arrive continuellement que ceci s’entiche d’un mortel, et nous naissons du fruit de leurs amours.

Je crois que les gens ne se rendent pas compte de la difficulté des mots qu’ils peuvent dire, et, ils ne peuvent pas imaginez non plus à quel point il est dur de se construire sans une parti de sois même, sans même savoir d’où l’on provient exactement…


CHAPITRE II ; Time's to know.



Savoir, comprendre, connaitre. J’étais désireuses de connaitre mes véritables origines, pourtant l’écrit est si ancien, et les dieux le sont encore plus, ils sont la base du mondes, ceux ayant crée chacune parcelle de vie, de nature, le pécher, le bonheur, la douleur, la souffrance tout ces sentiments sont de leurs propres conceptions, tout les miracles sont de leurs volontés, l’écrit n’existait pas mais eux si. C’est sur ses réflexions que je m’arrêtais, il était tard, je tombais déjà de fatigue. Je n’avais rien trouvé, du moins, rien de véritablement concret. Toutes les histoires sont les mêmes, mais aucune n’explique véritablement le comment du pourquoi. Et, il n’étais cité nulle part l’existence de personne dans mon genre, les demi-dieux, ou vaguement, comme si c’était interdit.

Je crois que toute la difficulté est que les mythes sont surement destinés à en rester… Voilà pourquoi les écrits sont assez vagues et bien trop vaseux pour qu’on puisse en déduire quelconques choses… Le camp était en endroit bien, bondé ou presque de personnes comme moi mais je ne m’y plaisais pas tant que ça, c’était dur d’être élevée par des personnes inconnues, la chaleur de mon foyer me manquait chaque jour, chaque seconde, chaque heure et bien plus… Tous, nous languissions les vacances, car c’était là ou notre vie était réellement une vie. Le combat n’était plus omniprésent durant quelques semaines, c’était apaisant. Je ne pu jamais répondre à cette soif de savoir qui envahissait mon être, c’était des tas de connaissance bloqué, je n’arrivais jamais à faire un quelconque lien, ma détermination m’empêchais de laisser tomber ces recherches aussi affreuses soit elle. J’attendais, un signe, une ligne, ne serais-ce qu’une phrase, quelques choses en mesures de répondre aux tas de questions que je me posais depuis ma plus tendre enfance.