« La haine est toujours plus clairvoyante et plus ingénieuse que l'amitié. » Pv Erato

« La haine est toujours plus clairvoyante et plus ingénieuse que l'amitié. » Pv Erato Stam-3-jessica-stam-10609417-100-100

▬ Comme on dit "faire l'amour",
il faudrait pouvoir dire "faire la haine".
C'est bon de faire la haine, ça repose, ça détend.

Comme souvent pour le moment, Perséphone se trouvait aux Enfers. La jeune femme était presque sur que son chère mari ne viendrait pas la chercher ici, c’est sûrement le dernier endroit ou il pensera la trouver. On pourrait croire que la belle blonde évite son époux, il y à un peu de vrai la dedans. En fait elle ne sait pas vraiment ce qu’elle veut, après la discussion qu’ils ont eux hier, elle se sent complètement perdue et puis il faut bien l’avouer c’est aussi le seul endroit ou Demeter ne viendra pas la chercher. C’est plus sa mère qu’elle évite pour le moment, cela fait seulement quelques heures que Pers’ est au courant que Erato est enceinte d’Hadès et comme par magie sa mère l’avait pressentit, maintenant elle la cherche sans arrêt, mais elle ne veut pas la voir, elle ne veut pas se laisser influencer, prendre une mauvaise décision. Apres tout, elle aussi a eut un enfant avec un autre homme mais elle au moins n’avait pas tromper son chére et tendre des dizaines et des dizaines de fois. Tout étais embrouillé dans la tête de la jeune femme…À cet instant précis, elle ne savait plus quoi faire. Hier soir, elle n’avait pas voulu révéler à Hadès qui était le père de Persée. Elle ne veut pas que John se face tuer, c’est le seul parent qui s’occupe bien du petit garçon que la jeune femme aime tant. Assise sur son trône, Perséphone était en train de se remémorer la scène d’hier. Les cris, les larmes… Le visage d’Hadès quant à son tour elle lui avait annoncé qu’il y à environ dix ans, elle était tombée enceinte. La colère monstre dans laquelle il c’est ensuite mit, Perséphone a bien cru qu’il allait tout démolir, si elle lui aurait révélé le prénom du père, c’est sure il l’aurait tué sans hésitation.

La jeune femme fut brusquement sortie de ses pensées quand l’un des valet des enfers, les pauvres qu’est ce qu’ils doiventt s’ennuyer, vint lui annoncer que quelqu’un était la, venu rendre visite à Hadès. Curieuse comme elle est, à la place de faire renvoyer la personne Perséphone décida d’aller à sa rencontre, histoire de voir qui pouvait bien vouloir voir son mari, maintenant et surtout ici. Si à la place de se laissée guidée par son instinct, elle aurait suivit le protocole, ça lui aurait évité de ce mettre dans une énorme colère. Elle se leva gracieusement, se regarda dans un des grands miroirs situés dans la salle, afin de s’inspecter et surtout de voir si elle était présentable. A vrai dire, elle ne ressemblait pas à une Déesse mais à une habitante de NY, vêtue d’une jupe en jeans, d’un débardeur blanc, d’escarpin Guess noir et d’un collier de grosses perles noires. Elle marcha le long de la grande salle, quand elle arriva prêt de la porte, elle aperçu les traits d’une femme à la chevelure brune qu’elle ne reconnaissait pas. Mais quand elle sortit, même si la jeune femme était de dos, elle l’a reconnu tout de suite.
La jeune femme avait prononcé ces quelques mots pour que son visiteur daigne lui faire face, quand celle-ci se retourna enfin, un éclair de rage pu se voir dans les yeux de Perséphone, elle mit ensuite ses deux mains sur ses hanches. Elle avait une soudaine envie de meurtre, c’est le cas de le dire.
La belle blonde était exaspérée, elle n’en croyait pas ses yeux.

« La haine est toujours plus clairvoyante et plus ingénieuse que l'amitié. » Pv Erato Jessica-Stam-jessica-stam-3627083-100-100

« La haine est toujours plus clairvoyante et plus ingénieuse que l'amitié. » Pv Erato Minka-minka-kelly-669730_100_100

"L'amour, c'est la certitude, c'est la foi ; la
jalousie, c'est l'incrédulité et la haine."

La violence qu'on se fait pour demeurer fidèle à ce qu'on aime ne vaut guère mieux qu'une infidélité.

La route qui menait au royaume d'Hadès était long et sombre, mais la belle Erato était trop occupé à inventer des chants mélodieux en l'honneur du Dieu, ils étaient tellement jolie et mélodieux que les âme tentait tant bien que mal de la suivre, des troncs d'arbre mort de penchait sur sont passage et les créature autour d'elle se sentaient apaisé.
«Oh mon doux Hadès

«Ω Άδης γλυκιά μου

dont je me suis épris

οποία είμαι τρυφερός
Je te rend visite dans ta forteresse
Σας επισκέφθηκε το κάστρο σας
Pour te demander d'être mon mari»
Να ζητήσουν να το σύζυγό μου»

La robe blanche de la muse dansais autour d'elle, elle c'était habiller comme aux temps où la Grèce était la grande et belle puissance mondial, du laurier dans ses cheveux brun. Elle avait soigner son apparence, il fallait à tout pris qu'Hadès lui revienne.
Mais en s'approchant du palais, elle eu un mauvais pressentiment, elle pris son courage à deux mains, il fallait qu'elle lui parle, l'enfant allais bientôt venir aux monde. C'était son enfant, elle voulait choisir son nom avec lui.
Les grandes porte de l'entrer de la salle du trône s'ouvrit, je ne vous raconte pas quelle fût sa surprise quand elle aperçus dans la salle non pas son amant d'une nuit mais sa femme Perséphone.
«ναρκωτικά»
Quand elle était vulgaire Erato s'exprimait en grec, allez savoir pourquoi, mais ça n'arrivais pas souvent.
Elle avait honte, malgré sa jalousie à l'égare de la ravissante Perséphone, elle ne pouvait s'empêcher de se sentir coupable de la possible fin d'un amour. La Déesse lança:

PERSEPHONE « Tient, Tient…Qui Voilà !

Erato ne répondit pas, elle restait dans l'ombre, ne regardais pas sa rivale. Perséphone enchéna,

PERSEPHONE « Et en plus tu as le culot de ramener tes fesses ici ! »

Alors la muse répondit

ERATO « Bonsoir (respectueuse la jeune muse fit la révérence à contre coeur), je ramene mes fesse comme tu le dit si bien , où je veux! Je ne viens pas pour toi, je viens voir Hadès, où est-il?»

.

▬ Comme on dit "faire l'amour",
il faudrait pouvoir dire "faire la haine".
C'est bon de faire la haine, ça repose, ça détend.

C’est qu'elle a du culot cette muse. Quand elle la vit faire le révérence, elle eut une soudaine envie, de lui sauter dessus et de la frapper, encore et encore. Mais elle se retint, Perséphone n’avait jamais vraiment aimé la violence, elle n’était pas une femme violente, ne l’avait jamais été et ne le sera jamais. Mais parfois, comme tout le monde la jeune femme a des pulsions…Pulsions qu’elle essaye tant bien que mal de retenir. Le problème, c’est qu’elle ne pouvait pas s’empêcher en voyant le visage d’Erato, d’imaginer la scène qui c’était passé entre son mari et elle. Chose répugnante, auquel elle n’avait pas du tout envie du penser, au contraire. Le comble dans tout ça c’est que la belle blonde était venue se réfugier aux enfers pour éviter tout le monde, sa mère, en quelque sorte son mari et voilà qu’elle tombait sur Erato, c’est sur ce n’était pas son jour de chance. « Je ramène mes fesse comme tu le dit si bien, où je veux ! Je ne viens pas pour toi, je viens voir Hadès, où est-il?» quand ces mots sortirent de la bouche de son ennemie, elle eut une furieuse envie de l’envoyer six pied sous terre, l’ironie du sort était bien sur qu’elle y était déjà, stupide chien à trois têtes, censé être un chien de garde, quelle nulle lui alors. Elle ne pu ensuite s’empêcher de grincer des dents, chose qui signifiait qu’elle était en train d’essayer de se contenir et de ne pas cracher tout son venin directement en pleine face de cette muse. Reste polie, Reste polie, s’efforça t’elle de penser avant de répondre.
Ensuite, elle observa la muse. Non, elle n’était pas jalouse, mais il fallait bien avouer qu’elle avait un certain charme, un grand charme. De jolis yeux verts, une longue chevelure brune accompagnée en plus d’une silhouette de rêve et pour couronnée le tout c’est la muse de la poésie érotique. Elle se souvint ensuite de la phrase que Hadès avait prononcée hier ; Je suis vraiment désolé, mon amour. Mais quand tu n'es pas là, six mois c'est long à attendre. Les enfers ne sont pas un lieu propice à l'amusement surtout en ton absence. Si tu étais plus souvent à la maison, je n'aurais pas eu le besoin d'aller voir ailleurs. Elle a été là pour moi quand toi tu t'amusais sur Terre. Elle ne pu ensuite s’empêcher de penser que tout était de sa faute si elle était malheureuse, il n’aurait pas du l’enlever à sa mère si c’était pour la faire souffrir ainsi, peut-être que Demeter avait raison finalement. Elle frissonna rien qu’à cette pensée. Perséphone releva ensuite la tête et regarda à nouveau la muse. C’est sure, elle est vraiment belle…Mais comment pouvait elle empêcher les ardeurs de son mari ? C’était impossible.

Sans violence un réel duel avait lieux dans la pièce, les deux jeunes femme s'échangeaient des regards haineux, à leurs façons de se tenir on voyait bien que l'une essayait d'être plus belle que l'autre, personne n'aurait put les départagé mais dans leurs façons d'être, de parler, de se regarder, elles se battaient. Brisant la tension que créait le silence Perséphone annonça:

PERSEPHONE

«Tu sais quoi? Tu vas pouvoir repartir d’où tu viens! Il n’est pas la… ça m’évitera de devoir te supporter encore une minute de plus.»

La belle Perséphone était en colère mais sont visage restait beau, Erato la jalousais mais elle comprenais que l'homme quelle aurait voulut à ses coté aimait cette magnifique créature. Ce sentiment apaisa sa haine, l'amour lui avait toujours fait ça. Non elle n'aimait pas Perséphone mais Hadès lui l'aimait, ça lui suffisait pour ne pas avoir envie de tuer cette femme.
Erato ouvrit la bouche, elle allait répondre à l'attaque de Perséphone quand elle remarqua une trace rouge sur le beau visage de celle-ci. L'avait-il frapper? Elle ne pouvait pas le croire! Hadès était le dieu des enfers, il avait tromper sa femme, il lui arrivait d'être mauvais, mais il disait qu'il l'aimait, n'avait-il pas dit qu'il ne voulait plus voir la muse par amour pour sa femme. Tant de question sans réponse arrivait dans la tête d'Erato qu'elle en oublia le fait même qu'elle était l'ennemi de la Déesse et s'approcha d'elle

ERATO

«Il... Il t'as frappé?»

Nan elle ne pouvait pas le croire. Erato commençais à avoir de l'empathie pour son ennemi, la femme pour qui se qu'elle pensait être l'amour de sa vie n'était pas rester avec elle. Sa nature avait repris le dessus, l'amour est plus fort que tout c'est bien connus, alors quand on est la muse de l'amour, il est encore plus fort.
Avant même que Perséphone puisse répondre la muse reprit

ERATO

«Mais pourquoi? Ce n'est pas... pas à cause de moi quand même?»

Elle ne voulait pas être la cause de cette violence, le stresse la rongeait, elle redoutait la réponse de sa belle ennemie.

▬ Comme on dit "faire l'amour",
il faudrait pouvoir dire "faire la haine".
C'est bon de faire la haine, ça repose, ça détend.

Perséphone attendait, sans bouger, mains sur les hanches, que la jolie muse lui réponde. Elle s’attendait à beaucoup de chose, surtout à une remarque cinglante, une réplique recherchée, mais rien de tel ne sortit de la bouche d’Erato. Il faut bien l’admettre, la bellee déesse fut très étonnée quand elle entendit les paroles de son ennemie. Elle ne pensait pas que cette trace rouge, qui lui avait été infligé hier se voyait autant, ce matin, elle avait pris soin de la dissimuler du mieux qu’elle pouvait avec du correcteur. En effet, la jeune femme n’était pas vraiment le type pot de couleur, elle avait donc évité de mettre trois couches de fond de teint. Qu’allait-elle inspirer à Erato maintenant ? De la pitié ? Non, ça c’était bien l’une des dernières choses dont elle voulait, elle ne veut la pitié de personnes…Sinon, cela voudrait dire qu’elle aurait touché le fond et ce n’est pas le cas. Apres tout, son couple n’était pas brisé, il était juste endeuillé. Mais malgré tout, ils ne vivaient plus ensembles, ne se voyaient plus. Tout cela est vraiment étrange. La jeune femme n’est pas habituée à ce mode de vie. Elle se souvint encore, que pas plus tard qu’avant-hier, elle se plaignait d’être seule, mais la elle l’était vraiment ; seule. Avant que la jeune femme ne puisse répondre quoi que ce soit, la muse, prit la parole, ce qui troubla encore plus Perséphone. Pourquoi est-ce que Erato ce comportait comme ça avec elle ? Malgré tout, la déesse voulu lui répondre que c’était de sa faute, mais comme ce n’était pas le cas elle s’abstient. Blesser en mentant n’était pas son but. Reparler de tout ça, et avec n’importe qui, faisait en quelque sorte du mal à Pers’. Dans les moindres détails, elle se rappelait encore de la scène. Bon d’accord, elle avait aussi un peu provoquée Hadès, mais elle ne s'attendait pas à une telle réaction venant de sa part. Quand il était partit, qu’elle avait entendu la porte claquer, elle c’était dit que ça allait être un soulagement mais malheureusement ça ne c’était pas passé comme ça, une immense tristesse avait envahie la jeune femme. Elle c’était sentie encore plus mal ce matin, quand elle avait nettoyé le salon, qui était maintenant vide, c’est le cas de le dire avec tous ce que son mari a cassé hier. Même si il était partit, et elle le sait à contre cœur, même si elle lui en voulait, sa bague de fiançailles était toujours à son doigts, elle n’avait pas le courage de l’enlever. Apres avoir prit une grande inspiration elle dit ;
Oui, elle était restée très vague, tout d’abord, parce qu’elle n’était pas en train de parler à une amie et puis de toute façon, cela n’intéressait pas la muse, non, elle avait répondu à la question qu’elle se posait, afin que son ennemie ne se sente pas coupable, même si elle avait du se retenir pour ne pas mentir. Elle baissa ensuite les yeux, et aperçu le ventre d’Erato. Depuis combien de temps était elle enceinte ? Elle ne l’avait pas demandé à son mari hier soir car elle ne trouvait pas cela important, mais maintenant un tas de question lui trottaient dans la tête. Allait-elle demander à Hadès de reconnaitre l’enfant ?
Elle n’avait pas pu s’empêcher de lui poser cette question, comme quoi la curiosité est un vilain défaut.

PERSEPHONE

«Tu peux dormir tranquille, ce n’est pas de ta faute. Si je devais nommer une personne coupable, je dirais que c’est moi. J’ai fait quelque chose il y à longtemps et voilà que ça me retombe dessus maintenant »

La jolie muse ne croyait pas vraiment la Déesse quand elle lui annonça cela, pourtant l'envie d'y croire, de se convaincre qu'elle n'y était pour rien était tel qu'Erato fit comme si de rien n'était. Elle sentait les sentiment mauvais qui se baladaient dans la pièce, était-ce à cause du lieux ou les deux belle créature se trouvais ou à cause de la haine qu'elles se portait? Allez savoir. La Déesse jeta un oeil aux ventre de la muse et repris:

PERSEPHONE

« Tu es de combien de semaines, de Mois plutôt ?»

Erato fut surprise, apparemment la haine était passer, comme le vend enlève les feuille d'un arbre en hiver la haine avait disparue dans la salle du trône du palais des enfer, la muse répondit!

ERATO

«Techniquement trois mois... Mais en apparence huit mois, je crois que le petit à eu une croissance accéléré.»

La muse ne s'en rendais pas compte mais en touchant son ventre de femme enceinte elle souriait et elle n'était pas la seul. Le fait que sont interlocutrice sois sa pire ennemi elle n'en avait rien a faire, quand Erato aimait rien autour d'elle avait de l'importance, seul comptait l'être aimé.
Il y eu un moment de silence, Erato commençais à comprendre pourquoi elle se sentait si bien, pourquoi l'amour était plus important que la haine dans la pièce, il y avait quelqu'un d'autre, quelqu'un de petit mais bien là. Il aimait Persephone, mais c'était une sensation étrange, ce sentiment venais du corps splendide de Persephone, alors la muse compris, elle n'était pas la seul à porter l'enfant du beau Hadès, elle sourit bien que triste, le seul avantage qu'elle avait sur la Déesse venait de disparaître. La jolie muse hésita, devait-elle annoncer à sa pire ennemis qu'elle était enceinte de l'homme qu'elle aimait et puis l'amour que l'enfant portait à sa mère s'empara d'Erato.

ERATO

«Tu sais, je crois que toi aussi... Tu, tu es... Que toi aussi tu es enceinte.»

▬ L'imprévu n'est pas l'impossible :
c'est une carte qui est toujours dans le jeu.

Quand la belle déesse entendit la réponse d’Erato, elle fronça les sourcils. C’était certain, elle paraissait beaucoup plus que trois mois, c’était évident que le bébé avait une croissance accélérée. Malheureusement, elle n’avait pas eut cette chance avec Persée. Oui, elle avait passé 9 longs mois, très long mois. Cinq sur terre, et quatres autres en enfer. Qu’est ce que cela avait été long et éprouvant. Elle avait du rester enfermée dans sa chambre, afin de dissimuler cette grossesse à son mari. Perséphone avait prétexté être malade et elle avait même réussis à dissuader Hadès de faire venir Asclépios, tache vraiment très difficile. Mais finalement tout cela n’avait servit strictement à rien, puisque maintenant il était au courant. Elle avait choisis de mentir pour éviter toutes disputes, elle ne voulait pas que son couple soit brisé à cause de l’enfant. Elle connaissait mieux que personne son mari, et sur le coup la belle blonde avait eut peur de sa réaction, il était tellement jaloux…

Soudain, des tout autres pensées traversaient l’esprit de la jeune femme. Cela c’était donc passé il y a 3 mois. Avait-il su depuis le tout début pour le bébé ou non ? Enfin, de toute façon, elle, elle avait bien attendu six ans avant de lui dire. Mais maintenant, Perséphone comprenait mieux pourquoi son mari avait été aussi distant, pourquoi il rentrait toujours très tard et partait tôt le matin. Tout s’expliquait, et elle doit bien l’admettre son absence lui avait fait mal, elle c’était sentie délaissée, alors elle se demandait bien comment elle allait faire pour réussir à vivre, soit pendant quelques temps, soit le reste de l’éternité sans lui. A force de réfléchir autant, elle commençait à avoir mal à la tête. Un silence pesant venait de s’installer dans la pièce et Pers’ pu remarquer que la muse souriait au touché de son ventre, elle se surprit d’ailleurs elle-même à sourire. Décidemment, son inconscient mourrait d’envie d’avoir un bébé, à nouveau.

Quand Erato, lui dit qu’elle aussi était enceinte, elle sentit soudain sa tête tournée. Elle regarda la jeune muse d’un air étonné et contre toute attente, celle-ci vint l’aider. Elle avait surement du remarquer que la déesse était en train de tourner de l’œil. Perséphone se sentit seulement bien, quand elle fut assise. Apres quelques minutes, de trou noir, elle avait surement du s’évanouir, elle se réveilla. La jeune femme se demanda d’abord, si elle avait bien entendu ce que la muse venait de lui dire, ou si c’était un rêve. Malheureusement, elle comprit bien vite, que c’était la réalité. Depuis des Millénaires, Hadès et Pers’ ne se protégeaient pas, plus tout d’abord car avant, bien avant la pilule n’existait pas et secondo, Perséphone n’était jamais tombée enceinte, cela ne voulait donc pas dire qu’ils n’étaient pas compatible ?

PERSEPHONE « C’est Impossible. Tu dois te tromper…Non, vraiment, c’est impossible. Je…je ne peux pas être enceinte ! »

La déesse, avait l’impression d’avoir touché le fond. Depuis combien de temps était elle enceinte ? Comme par hasard, cet imprévu devait arriver maintenant. Juste au moment ou elle se retrouvait seule, juste le jour âpres s’être disputée avec Hadès. C’était vraiment inimaginable, à croire que tout ce déchainait contre elle.

(Désolé c'est cour... pas trop d'inspi)

PERSEPHONE

« C’est Impossible. Tu dois te tromper…Non, vraiment, c’est impossible. Je…je ne peux pas être enceinte ! »

Erato ne comprit tous d'abord pas la réaction de Persephone, pour la belle muse un enfant c'était forcément de la joie et puis elle compris, le couple des enfers venait de se séparé, il l'avait frapper et le fait que la Déesse Persephone soit seul dans la salle du trône montrait bien que se n'était vraiment pas le moment d'avoir un enfant. La muse hésita entre félicité la femme enceinte qu'elle était sensé détester ou lui dire à quel point elle était désolé. Dans ce genre de situation personne de saurait que faire.

ERATO

«Je suis vraiment... désolé... Et contente en même temps, un enfant c'est génial mais si le père est absent, Erato regarda son propre ventre, nous avons un poins comment maintenant.»

Un petit rire nerveux échappa à la muse. Deux femmes qui se détestaient, se retrouvais enceinte du même homme et celui-ci ne sera là pour aucun des enfants à première vue. Cette situation était plus que bizarre, de plus les deux femmes était aux royaume des enfers, l'une était une magnifique blonde Déesse et reine de ces lieux et l'autre une petite brune muse de la poésie lyrique et érotique. Erato se sentait impuissante, nul même. Elle était sur à présent qu'Hadès choisirait Perséphone, avant, elle était la seul à avoir un enfant de lui, maintenant sont ennemie aussi. Elles se battaientt avec les même arme, sauf une, la plus importante, celle qui ferait gagner la Déesse, Hadès avait un enfant avec sa femme, ils avaient beau s'être engueulé, Hadès avait beau être un crétin fini qui n'en a rien à faire des autres, il avait un enfant avec sa femme et Erato redevenais le néant. Elle avait perdu la bataille.

▬ L'imprévu n'est pas l'impossible :
c'est une carte qui est toujours dans le jeu.

Cette nouvelle eut l’effet d’une bombe pour Perséphone, elle ne savait pas pourquoi mais à cet instant elle avait envie de pleurer, bien sur elle se retenait, elle retenait ses larmes, elle ne pouvait pas se laisser aller ici, pas en présence d’Erato, non surtout pas ça aurait été le comble. Cet enfant tombait au mauvais moment et la déesse avait l’impression que le ciel s’acharnait contre elle, elle se dit alors que tout n’était pas prés de s’arranger, au contraire, elle avait une drôle d’impression, comme quoi tout ça allait empirer. Perséphone espérait simplement que ce pressentiment n’allait pas devenir réel, de toute façon qu’est ce qu’il pouvait lui arriver de pire ? Elle était enceinte, célibataire, complètement seule chez elle. Impossible de faire pire ! Dans son esprit, elle se répétait sans cesse le mot Célibataire, elle ne l’était pas vraiment, enfin quand même un peu, elle-même ne savait pas comment qualifier son statut, mais il est clair qu’elle allait devoir vite se décider, La jeune femme avait peur, de faire le mauvais choix justement à cause de la précipitation. Mais au fond elle le choix était déjà fait, elle le savait très bien, il suffisait juste qu’elle l’admette et seul le temps pourra lui faire tirer cette conclusion.

«Je suis vraiment... désolé... Et contente en même temps, un enfant c'est génial mais si le père est absent, Erato regarda son propre ventre, nous avons un point comment maintenant.» Apres avoir été tirée de ses pensées par les paroles de la muse, La déesse eut une autre remontée de sanglots qu’elle géra du mieux qu’elle pouvait, qu’elle essaya de garder enfouis au fond d’elle. Elle était donc désolée ? Contente ? Les deux jeunes femmes n’étaient elles pas censées se Haïr, pourtant en ce moment précis ce n’est pas ce que Perséphone ressentait. Cette situation était vraiment très ironique, elles étaient maintenant toutes les deux enceinte du même homme, chose que Pers’ avait encore du mal à digérer et pourtant elle allait devoir s’y faire, l’accouchement de son ennemie était proche, très proche. Les questions qu’elle c’était posée plutôt, il y a quelques minutes, remontaient à nouveau à la surface. Allait-elle demander à Hadès de reconnaître le bébé ? De toute façon, même si elle lui demandait, ça ne changera rien au fait qu’il prendra seule sa décision et qu’elle ne pourra pas le forcer si il ne veut pas. Elle avait envie de quand même poser cette question à son interlocutrice, ça ne fera de mal à personne de toute façon, puis Pers’ avait l’impression que la haine c’était évanouie, pas totalement mais avait diminuée, en tout cas pour le moment !
Tout à coup, un flot de questions envahit la tête de la déesse. Ou ? Quand ? Savait elle qu’il était marié ? C’étaient ils revues depuis cette fameuse nuit ? Depuis qu’elle lui avait annoncé pour l’enfant ? Comment cela c’était il passé ? Perséphone freina tout de même ses ardeurs, elle ne pouvait pas assommer la muse avec toutes ses question, quoi que en fait si elle le pouvait, mais dans les moments ou elle ferait mieux de se comporter en peste, elle se comportait en gentille fille-fille, qu’est ce que ça avait le don de l’énerver, oui, c’est étrange mais elle s’énerve parfois contre elle-même. Elle ne pu s’empêcher avant même que la muse réponde de l’interroger une nouvelle fois.
Oui, il était temps que cette histoire s’éclaircisse un peu, pour la belle Déesse.

[j'ai enfin trouvé l'inspi =P]

La jolie muse était chamboulé, la situation était plus que bizarre, elle était aux enfers, avec l'épouse de l'homme qu'elle aimait et les deux jeunes femmes se faisait des sorte de confidente étrange, la situation était tendue, et la question de Perséphone n'arrangea pas vraiment les chose

PERSEPHONE

«Tu Compte lui demander de reconnaître l’enfant ?»

Que pouvait répondre Erato? Oui bien sur et puis nous l'élèverons ensemble! Nan vraiment elle ne voulait pas répondre, elle savait que jamais Hadès n'accepterais de reconnaître l'enfant alors à quoi bon? Bien sur elle allait essayer quand elle aurait l'occasion de voir Hadès de le faire cédé mais franchement essayer de faire plier le dieu des enfer c'était comme... C'était tellement impossible que je ne vois même pas à quoi on pourrait comparer cela. Erato n'eut même pas le temps de répondre que la jolie blonde reprit

PERSEPHONE

« Vous vous êtes revus depuis la fois ou tu lui as annoncé que tu étais enceinte ? Tu savais tout de même qu'il était marié, quand tu...Quand vous avez couchés ensemble? »

Il y avait trop d'information pour la brunette qui mit pas mal de temps avant de se décidé à répondre.

ERATO

«Je... Nan je ne pense pas lui demander ça... De toute façons il refuserait, j'essayerais peux être si j'en est l'occasion mais tout ça me fatigue.»

La muse avait décidé de mélangé sincérité et mensonge, après tout Pers' n'était pas son amie, elle n'avait donc aucun engagement envers la Déesse. D'accord d'un point de vue hiérarchique, Erato devait le respect à Perséphone mais au point où elle en était, ça n'était pas sont soucie principal.

ERATO

«Non je ne l'ai pas revus,

Il n'a pas voulue...»

Pourquoi se confiait-elle? Elle même ne le savait pas vraiment, mais ces temps si elle n'avait pas beaucoup de monde à qui parler, son aventure avec le dieu des enfers n'était pas très bien vue, ce qui est totalement normal mais tout de même Erato se sentait seul.

ERATO

«C'était pas ça le problème, qu'il était marié ou pas, j'en avais rien à faire, oui je le savait sûrement mais il me draguais, j'ai supposé que ce n'était pas un problème... Les problème sont venus plus tard...»

▬ L'imprévu n'est pas l'impossible :
c'est une carte qui est toujours dans le jeu.

Pourquoi est-ce que la belle déesse avait comme l’impression que la muse lui mentait ? Bon d’accord, elle n’aurait peut-être pas du poser ces questions…Apres tout, elle savait depuis le début qu’Erato n’allait pas être sincère avec elle, mais elle n’avait personne d’autre à qui demander…A part Hadès, mais hier il était partit et puis de toute façon maintenant elle était enceinte, c’était de ça qu’elle devait parler avec lui et non de ce qui c’était passé entre lui et la muse. C’était le passé, elle ne pouvait pas sans cesse revenir la dessus même si la blessure qui c’était formée était encore toute fraîche, enfin bref… Perséphone se demandait bien comment avait pu se sentir le dieu des enfers, ressentait il la même chose qu’elle ? Telle est la question, peut-être qu’un jour pers’ aurait la réponse, mais en tout cas pas tout de suite.

Au plus la jeune muse parlait, au plus Perséphone lui en voulait. Mais elle devait assumer c’était bien elle qui lui avait posés toutes ces questions. En tout cas ce dont elle était sure c’était de la dernière réponse d’Erato. Au final, peut-être qu’elle-même 10 ans plus tôt, elle avait trompé son mari mais au moins elle avait la décence de le faire avec un homme ni marié, ni en couple ni même avec une fille en vue. Pendant qu’elle se confiant, la muse avait du se sentie seule, en effet la déesse n’avait pas répondu à une seule de ses paroles. Non, elle préférait réfléchir à la place de se prononcer. Tout façon aujourd’hui, elle avait subit beaucoup trop d’émotions pour être capable d’engueuler ou même de se disputer avec cette femme. Perséphone avait des décisions à prendre, elle en est parfaitement confiance et ce n’est pas en restant ici, qu’elle trouverait des réponses à ses questions et qu’elle ferait le bon choix. A l’avenir, elle espérait juste qu’Erato ne vienne plus revoir son mari, si elle décidait de rester avec et même si elle le quittait, elle se sentirait drôlement mal de voir Hadés retourner avec elle. Prenant son courage à deux mains elle dit ;

Elle reprit sa respiration, se leva lentement affin de ne pas provoquer un autre vertige. Avant de partir elle se retourna vers la muse…

PERSEPHONE

Quand elle y réfléchissait bien, cette entrevue ne c’était pas si mal passée et puis maintenant Erato était prévenue, si elle prenait la décision de retourner auprés de son mari et qu'elle continue à lui tourner autour, ça risque de mal se terminer....

Soit tu réponds et c'est fini ou tu ne réponds pas. Comme tu veux (:

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