Hadès Swan
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| Sujet: On a beau être un dieu, il nous arrive aussi de nous perdre. Avec qui veut ;D Ven 26 Mar - 13:13 | |
| - Hadès avait décidé de partir en expédition dans NY, seul, pour visiter cette ville ultra moderne. En une journée il n'eut pas le temps de faire beaucoup de choses mais ce qu'il découvrit l'intéressa beaucoup. Les mortels étaient beaucoup plus évolués qu'ils, les dieux, l'avaient prévu. Comme quoi il ne faut pas sous estimer ces petits bouts de chairs sur un tas d'os. Même si on ne pouvait faire de généralités, il y avait pas mal d'humain qu'on pouvait qualifier d'ingénieux. "Il serait temps de rafraichir l'Olympe" songea-t'il. "Rajouter des dieux pour les nouvelles spécificités, comme l'informatique. Oui, il faudrait un dieu de l'informatique. Bill Gates, ce génie, je lui donnerai tout un ministère en enfer, pour qu'il modernise le tout. L'arrivée des morts étaient de plus en plus désorganisée, et lui, Hadès, ne pouvait tout gérer tout seul.". Il avait longtemps admiré les buildings, envieux et intrigué. Ce genre d'architecture lui avait toujours été étrangère. Il fallait soit être fou, soit très éclairé, pour avoir construit ces monuments. Étirés vers le haut, on aurait qu'ils étaient fabriqué pour toucher le ciel et les étoiles. Toujours plus loin, toujours plus haut, toujours plus fort, comme le proclamait une émission française du nom de .... Fort Boyard. C'était fascinant. La lumière se reflétait dans le bleu des vitres et se renvoyait d'immeuble en immeuble, éblouissant la ville de milliers d'éclats de soleil. À force de roder dans la ville, il avait croisé toute tranche de population. Les vieux, bougons, coincés et imbéciles. Les jeunes, innocent, amusants et touchants. Les adultes, énervants, énervés, pressés. Et les enfants .... Il ne pouvait s'empêcher de penser que les enfants étaient réellement une invention divine. C'était tellement beau, pure. Les enfants qui le voyait dans la rue le saluait sans crainte,et pourtant ils savaient à qui ils avaient affaire. Quelle chose merveilleuse que l'esprit d'un enfant. Hadès donnerait beaucoup pour en avoir un avec la femme qu'il aime. Malheureusement pour lui, il a une fâcheuse tendance à mettre enceinte les mauvaises personnes. Enfin passons.
Après avoir arpenté les rues de New York, il finit par soulever une plaque d'égout, pris d'une grande curiosité, et était descendu dans les entrailles puantes de la ville. Les tuyaux qui parcouraient les murs grouillaient de toiles d'araignées. Et une eau nauséabonde circulait entre deux rives, quasi immobile tant elle était pleine de saleté. Hadès sourit, un petit sourire en coin dont il avait le secret. Ça l'amusait. Il pensa quelques secondes que noyer Déméter dans cette masse de détritus lui ferait le plus grand bien. Oh oui, mettre sa belle mère dans les égouts alors qu'elle détestait la saleté, quelle joie ! Une petite vengeance, après c'était à cause d'elle qu'il ne pouvait avoir sa femme 12 mois/ 12. Mais s'il faisait ça, il se mettrait l'Olympe à dos. "Mais l'Olympe, ce n'est plus que des vieux gâteux qui ne comprennent rien à rien, se déplacent avec une canne". Le dieu des enfers se perdit dans ses pensées tout comme il se perdit dans les sous terrains. Au bout d'une heure à vagabonder dans cet endroit malpropre, il commença à se demander comment il allait sortir. Il n'avait pas acheter d'engin appelait "Téléphone Portable" et n'avait aucun moyen de contacter quelqu'un pour aller le chercher. Quand bien même il eut pu, sa fierté aurait raflé.
Sur le coup de midi moins le quart, il croisa une bande de clochards qui le regardèrent d'un mauvais œil. C'est sur qu'il était mal avisé de s'habiller Yves St Laurent dans ce genre d'endroit. Le chef de troupe s'arrêta en face de lui et lui postillonna dans la gueule "Écoutes mon vieux, t'as rien à faire ici. Pour cette fois, ça va, on veut bien passer par dessus. Donnes moi tout ton fric, bourge de merde de mes deux." . Hadès recula quand il reçu l'haleine du poivrot dans la tête. C'était une arme comme une autre. Mais il ne répondit pas. Alors un deuxième clodo prit la place du premier. Celui ci était plus petit, mais avait l'air robuste et nerveux. "Écoutes, sale blanc de merde, sale bourge, on a pas de temps à perdre avec des gens d'ton espèce alors passe le fric et ne nous brise pas les burnes, sinon tu risques de le regretter !" . Sortant tranquillement un mouchoir de sa poche, Hadès s'essuya le visage doucement pour enlever toute trace de salive. "C'est moi qui n'ait pas de temps à perdre avec vous, alors cassez vous . " Il leur adressa un sourire qui eut le don d'énerver le chef qui tenta de lui infliger un coup. Hadès aimait se battre, il en avait rarement l'occasion, aux enfers, et ça lui faisait du bien. Évitant le poing de son agresseur, il lui fit un croche patte et lui donna un coup dans le diaphragme, puis il attaqua les deux autres . Il les mit tous allongé et leur sourit tranquillement.
Puis, il reprit son chemin. Son estomac commençait à se réveiller et il mourait de faim. Il commençait à penser que, sans aide, il lui serait impossible de sortir de cette connerie. Il s'assit à un endroit qu'il jugeait relativement propre et regarda passer les rats . En attrapant un par la queue, il lui insuffla le don de parole et lui demanda "Où se trouve la sortie, rongeur ?" . Le rongeur en question qui paraissait extrêmement bête se contenta de piailler. Il se débattit tant et si bien que Hadès, énervé, l'envoya s'écraser contre le mur d'en face. L'animal retomba, mort. Levant les yeux au ciel (façon de parler, il ne pouvait pas le voir) il murmura :
"Quelle honte, se perdre dans un endroit de la sortes, au final si semblable aux enfers !"
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Invité Invité
| Sujet: Re: On a beau être un dieu, il nous arrive aussi de nous perdre. Avec qui veut ;D Ven 23 Avr - 21:56 | |
| Asclépios avait décidé de lui aussi apprendre à mieux connaitre la ville dans laquelle il était installé depuis plus longtemps que le roi de l'enfer. Mais il avait été fort occupé à l'hopital, les malades graves arrivaient en masse et il devait faire le plus discretement possible son travail pour ne pas se faire remarquer parmis les humains. Seulement aujourd'hui on l'avait forcé à prendre un jour de repos, il avait préféré accepté pour ne pas attirer le doute sur lui et passer pour fatiguer comme les autres travaillant dans cet hopital. Le Dieu s'était trouvé un grand appartement au sommet d'un de ce gratte ciel avec de grandes baies vitreées, il avait juste cette impression d'être ainsi plus près de l'ancien olympe ou du ciel. En somme plus près de son véritable chez lui, il ne niait pas que ça lui manquait cependant le monde des hommes se révélait surprenant et interessant pour un homme tel que lui. La société avait telleùment évoluée depuis sa dernière descente que ça en était presque iréel. Le médecin avait donc du faire tout comme les mortels. Trouver où habiter, puis après l'équiper de son appartement ressortait une impression de cocoon et d'un havre de paix, propre à sa personnalité. Ca n'était pas si désagréable d'avoir un bout de chez soit personnel finalement, bien que parfois il se sentait seul. Il achevait de ranger quelques affaires après avoir un peu manger lorsque le vue sur la ville de la grosse pomme lui donna l'idée d'une petite promenade au travers ses quartiers. Autant qu'il apprenne à connaitre la ville où il allait passer un petit moment, New York avait été choisit d'un point de vue stratégique de un il s'agissait une ville ayant une forte répercution au niveau de l'amérique, de plus la population y était élevée donc les dieux pourraient essayés de conquérir un maximum de gens tout en se fondant dans la masse, en somme parfait comme endroit...
Asclépios prit alors son manteau et emprunta les escaliers les préférant à l'ascenceur arrivant en bas pas le moins du monde essouflé il salua un de ses nouveaux voisins qui furent très accueillants avec lui. Peutêtre était ce parce que le dieu de la médecin dégageait cette sorte d'aura apaisante qui faisant que les gens étaient confiants auprès de lui. Un côté pratique en somme dans son travail, il s'était habillé passe partout un jean mais assez classe une chemise blanche et une veste dans le style costume cravate, noire. L'exilé sortit dehors savourant le ciel à peu près bleu et le soleil qui percait il se dirigea au hasard dans le pire des cas si il était vraiment perdu un taxi ou des passants pourraient le ramener sur le droit chemin et puis n'avait il pas toute la journée pour revenir chez lui. Il n'y avait aucune règle et puis As n'était point affecté par la fatigue ou du moins presque pas. Le dieu se balada au fil de ses envies découvrant des parcs, des magasins il s'arrêta même à un marchand de glace. Un enfant atteint d'une leucémie lui avait fait promettre de gouter une glace avant la prochaine consultation, il n'avait put refuser surtout face à ces êtres si purs en apparence. Il avait été surpris par le froid de la glace mais avait trouvé le gout plaisant. Le marchand de glace amusé par un tel client lui avait offert généreusement le produit au alentours de dix heures.
Alors que le dieu se promenait il cru reconnaitre une silhouette familière non loin, Hadès l'un des trois grands dieu celui des enfers. Généralement certains n'osaient pas vraiment l'approcher mais As si, il n'avait strictement rien contre lui et était trop heureux de retrouver un dieu dans New York et à cette heure ci. Il remarqua néanmoins que ce dernier semblait froissé et un peu perdu ? D'un pas tranquille il arriva vers l'endroit où se situait son confrère les regards se portaient sur lui, mais il en faisait fie. A bien observer le duo tranchait dans le décors entre un qui était habillé Yves saint laurent et l'autre tout aussi classe surtout quand tous les deux de part leur nature de dieu dégageait une aura et un magnétisme prennant. Le médecin se rapprocha et eut le temps d'entendre Hadès murmurer, que s'était une honte. As répondit alors d'une voix calme qui le caractérisait habituellement:
Il n'y a aucune honte, je t'avoues que pendant ma 1er semaine je me suis perdu quelques fois Hadès. |
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