Le jour se levait sur New-York. Sept heures, le réveille sonna diffusant une musique des année quatre-vingt, Erato se réveillait dans un sursaut, la première chose qui lui vint à l'esprit fût: «Où sont les toilettes?» elle courait tenant mon ventre de femme enceinte de ma main droite et sa main gauche sur la bouche. On lui avait dit que les grossesses des muses et des humains étaient différentes, d'accord cela faisait seulement deux mois qu'elle était enceinte et son ventre ressemblait déjà à une montagne mais on lui avait mentis, les vomissement et autres maux désagréable n'étaient prévus. Sans doute que la mère d'un enfant illégitime ne mérite pas les grâce d'Héra, elle devrait faire avec.
Elle n'irait pas jusqu'à dire que cet enfant était désiré mais savoir qu'elle portais en elle la descendance d'Hadès remplissait son coeur de joie. Elle aurait voulue qu'il quitte Perséphone pour elle, mais hélas il n'avait pas l'air décidé à le faire, elle avait même l'impression qu'il l'avait oublier. À la réflexion, c'était même certains.

Comme tous les matins elle allait se promener dans Central Parc, la brise légère du petit matin, lui redonnais de la vigueur, le joyeux chants des oiseaux dans les arbres apaisaient sa peine, elle n'avait pas besoin de mangé tant qu'elle avait ce petit bout de nature quotidiens. C'est vrai, les bois, les fleuves et les montagnes de Grèce lui manquaient, mais elle n'avait pas la force d'y retourner, allée savoir pourquoi et puis la vie New-Yorkaise n'est pas si mal.
Continuant sa balade la jolie muse arrivait enfin devant son arbres favori, il était près de l'eau, sous ses branche il faisait chaud mais pas assez pour ressentir une gêne à ce niveaux là, de temps en temps de petite brise venaient bercé ses grange feuille faisant volé les cheveux d'Erato. Un sourire se dessina sur ses lèvres, elle m'assit et sortis un carnet de sa poche, elle voulait écrire, écrire son désespoir, les chants qu'elle écrivait était digne de ceux de sa tendre Melpomène en se moment, d'ailleurs Erato sentais sa soeur près d'elle, elle l'aidait à évacué sa peine. Dans la tête de la jeune muse, elle revoyais cette soirée passée en la compagnies d'Hadès, c'était lui qui avait commencé à la charmer, c'était lui qui avait voulue qu'ils aillent là où l'on ne pourrait les déranger, bien sur elle avait accepter, mais tous ça était à cause de lui. Elle restait immobile sous le grand arbres, à regarder l'eau danser sous ses yeux, à attendre, attendre quoi? Elle ne savait pas.

Ele était perdu dans ses pensée quand elle entendit derrière elle une voix mélodieuse, il ne lui fallut plus d'une minutes pour reconnaître sa soeur, Euterpe. Quand celle-ci parlait, on aurait dit la plus douce des mélodie, elle appelait sa soeur, Erato se retournait et esquissa un sourire:

ERATO «Euterpe, ça fait longtemps, ça va?»

Cette rencontre imprévue avec sa soeur la rendait heureuse, ces temps ci elle n'avait pas vraiment eu l'occasion de les voir, alors il lui tardait de discuter avec la jolie muse de la musique.