Oui je sais c'est nul, j'ai honte

Il est claire qu'on ne peux pas dire que j'ai traîné pour les histoires de coeur, je n'ai que quelques semaines et j'ai déjà un petit copain et pas n'importe qui, je sortais avec Adromaque Paterson, un étudiant en médecine de 19 ans. Il était beau, charmeur et la plupart du temps gentil, en bref il avait tout pour plaire! C'est donc souriante et de bonne humeur que je me suis préparé pour notre petit rendez-vous improvisé à la bibliothèque. J'ai enfilé un jean noir et une tunique bleu pastelle assortit à des ballerine plate. Bien sûr tout ça venais d'un grand magasin très en vogue du moment et avait coûté des mois et des mois d'argent de poches d'un adolescent normal, heureusement pour ma garde robe, je n'étais pas une adolescente normale. J'ai attraper mon sac, et je me suis dépêché d'allé à la bibliothèque.

Il faisait chaud aujourd'hui, il était claire que l'été arrivais, et j'avais hâte de enfin connaître cette saison, j'aimais le changement du temps, les fleurs, les odeurs printanière, inutile de vous préciser de qui je dois tenir ça... Enfin bref, j'étais au ange et ça malgré les commentaires plus que idiot et déplacé des garçons remplis d'hormones que je croisait dans les rue ensoleillé de Manhattan.

Enfin, la bibliothèque se dressais devant moi, je suis entrer et l'air c'est soudain rafraîchie et j'ai regretté de ne pas avoir pris de pull. En m'enfonçant dans les profondeur du bâtiment, cherchant de rayon en rayon où pouvait bien se trouver mon rendez-vous, je l'ai aperçue, il était plongé dans la lecture d'un livre. Soudain, comme repérant ma présence, il a levé la tête et il a sourit quand il m'a reconnue, à mon tour j'esquissais un sourire. Il m'a fait signe de m'approcher, j'ai obéi, il m'a prit dans ses bras et tendrement il m'a embrassé. Je n'étais pas encore habitué à ce genre de coutume, je découvrais tout et je dois dire que d'embrasser un garçon n'était pas quelque chose de désagréable, même quand on est pas très expérimenté. Me délivrant de son étreinte il à dit «Séléné ! Je suis heureux que tu aies pu te libérer . Tu vas bien ?» je l'avoue, j'ai sourit comme une idiote.

SÉLÉNÉ « Bien sûr que je me suis libéré! Comment aurais-je pût louper un rendez-vous avec toi, forcément que je vais bien et toi?»

Il y a des fois, je me demande pourquoi mon esprit s'obstine à aller voir ailleurs... Pourquoi pensais-je à d'autre garçons quand le plus parfait se tenait devant moi, près à tout pour me faire plaisir? Je me sentait affreusement coupable, j'allais même jusqu'à penser qu'il fallait mieux pour tout le monde que j'avoue mes faute à Andromaque mais après réflexion, il ne voudrait plus de moi après ces confessions, alors je me taisais... En plus, il avait un magnifique sourire et sont rire était comme une berceuse, je crois que j'aime Andromaque mais il n'ai pas le seul qui me plais... là est tout le problème...

Le grand brun m'a amené jusqu'à la terrasse d'un café, comme un parfait gentleman il à tiré ma chaise pour m'aider à m'asseoir puis il m'a demandé si je voulais quelque chose, j'ai fait signe que oui de la tête et un serveur est arrivé. Je ne faisais pas vraiment attention à lui j'étais trop occupé à regarder Andromaque, par contre lui, il faisait attention à moi, mais qu'un serveur me regarde comme ça Andromaque sa ne lui plaisait pas, alors le serveur c'est pris un bon coup de pied. Je n'avais vue la scène que du coins de l'oeil et pas avec une grande attention donc je pense qu'elle m'a parut moins drôle qu'elle ne l'étais pourtant j'ai pouffé, enfin j'ai rigoler en essayant que ça ne se voit pas trop. «Vous désirez quelque chose ?» Je n'ai pas eut le temps de répondre parce que Andromaque à répondue «Tout d'abord que vous arrêtiez de fixer ma copine comme cela. Ensuite, vous nous servirez deux diabolos grenadines avec des glaçons. Merci !» La j'ai rigolé, je n'aimais pas tellement la jalousie de Andromaque (même si dans le fond c'était plutôt mignon) mais il avait le sens de la répartit, j'ai souris au serveur, il est partit et je me suis intéresser au beau jeune homme assis en face de moi.

Il m'a pris la main puis il m'a dit «Pardonnes moi, je n'ai pas pu venir te voir hier soir, comme prévu, j'avais des examens, pour vérifier mon état de santé. Les médecins ont cru déceler un nouveau début de tumeur, du coup ils m'ont gardé plus tard.» Un monstre, voilà se que je suis, mon petit copain s'excusait d'être aller passer un examen de santé important au lieux d'être venue me voir et moi cette soirée là, j'avais passer la soirée sur MSN avec Hélios. J'ai regarder Andromaque dans les yeux l'air désolé.

SÉLÉNÉ «Andro je peux pas t'en vouloir pour ça, j'espère que ce n'était pas une tumeur et que tu vas bien quand même, c'est le plus important.»

Il à sourit puis il à reprit, «Qu'est ce que tu as de beau à me raconter ? Tu vois toujours ce …. Hélios ? Vous vous entendez bien ? Je suis content, tu as l'air de t'être très bien intégrée, et ce en seulement quelques semaines. Si tu savais ! Il m'a fallu un an pour qu'ils arrêtent de me jeter des granulés dans la tête !» Il avait sûrement envie de changer de sujet mais je ne pense pas que le sujet «Hélios» soient le meilleur, je pense qu'il se doutais de quelque chose, il essayait en me posant ce genre de question de confirmer ces soupçons. J'essayais de lui cacher mais je ne sais pas pourquoi mentir à Andromaque était la chose la plus dur du monde! Il ne m'a pas laissé répondre, «Tu sais, Séléné, tu me plais beaucoup, et je crois que tu es la personne à laquelle je fais le plus confiance dans ce monde. Avec Pâris, bien sûr.» je ne sais pas si il a dit ça pour me déstabiliser ou si il le pensais vraiment, en fait c'était sûrement les deux mais ça m'a fait frissonner, je me sentais encore plus mal! Pourquoi quand j'étais avec Andromaque je pensais à Hélios et vis-versa? «Avec Pâris, bien sûr» J'ai eu envie de rire, un rire nerveux ça ne fait aucun doute, si seulement Andromaque savait se qui c'était passé entre Pâris et moi... J'avais honte, affreusement honte encore une fois. J'ai pris la main d'Andromaque, je la regardais sous toute les coutures, parfois je lançais des petits regard furtif au beau brun.

SÉLÉNÉ «Toi aussi tu compte beaucoup pour moi, je suis contente que tu me fasse confiance!» j'ai marqué une pause «Andro tu veux réellement parler de Hélios maintenant? On s'en fou de lui... Moi j'ai rien de bien intéressant à te raconter. Raconte moi cette histoire de granulés sur la tête»

Je ne crois pas que le milieu de ma phrase était très convainquante (mais le début je le pensais vraiment!), je savais que Andromaque était jaloux de Hélios car il pouvait me voir tout les jours cour et il ne l'aimais pas trop en général en fait. Et je comprenais parfaitement ça, c'est pourquoi j'ai rassemblé toute mes force pour avoir l'air de m'en foutre royalement du beau Hélios. D'habitude j'étais une menteuse hors-paire mais j'avais toujours envie de dire la vérité à Andromaque...