vingt trois ans ▬ née le ving trois juin 1987 ▬ originaire de Boston ▬ danseuse ▬ est partie vivre à las vegas à dix sept ans ▬ adore le chocolat et les chaussures ▬ arachnophobe ▬ passionnée par la danse ▬ ne quitte jamais son bracelet en or blanc ▬ tripote à longueur de temps ses cheveux ▬ marrante ▬ extravertie ▬ sociable ▬ jalouse ▬ rancunière ▬ vulnérable ▬ courageuse ▬ intelligente ▬ spontanée ▬ lunatique ▬ perfectionniste ▬ quelque peu maniaque

Je suis née un beau jour d’été, le 23 juin 1987, les oiseaux chantaient, le soleil brillait. Je n’ai jamais manqué de rien, j’ai été élevée par des parents aimants, ils m’ont gâtée, choyée. Que demander de mieux ? En réalité, quand j’étais enfant j’étais assez proche de mon père et de ma mère, mais en grandissant je me suis éloignée car ils prenaient mon rêve pour une foutaise, quelque chose sans grande importance, pourtant moi, j’accordais et j’accorde toujours énormément d’importance à la danse. Trois ans après ma naissance, une autre bouille d’ange a rejoint la famille ; Apple. Dès le début je me suis attachée à elle, je n’étais pas vraiment jalouse comme la plupart des frères et sœurs, je voulais sans arrêt m’occuper d’elle, je jouais avec, j’aidais ma mère à lui faire prendre son bain, je faisais des ballades pour la distraire. En fait, j’avais l’impression d’être une maman miniature, j’adorais ce rôle. C’est à l’âge de cinq ans que j’ai demandé à ma mère de m’inscrire à des cours de danse, tout d’abord classique, j’avais des étoiles pleins les yeux quand je regardais le lac des Cygnes et autres. C’est bien vite devenu une passion et j’ai aussi gravis très vite les échelons. Je me souviens encore de mon premier concours, j’avais huit ans, j’ai fini deuxième, ça m’importait peu d’être première, moi je voulais juste figurer sur les marches du podium. Ensuite, j’ai voulu me diversifier, changer de style, alors j’ai commencé la danse moderne à douze ans, puis ce fut au tour du jazz… et je n’ai plus su m’arrêter. Comment expliquer ce que je ressentais ? Quand je dansais j’avais la sensation d’être libre, ça m’aidait à faire le vide et à me vider l’esprit, j’oubliais en quelque sorte tous mes problèmes. Mes parents m’ont envoyée dans les meilleures écoles et j’ai réussi mes années de lycée avec une moyenne acceptable. Je dois bien avouer que je n’ai jamais aimé l’école, alors oui, je travaillais parce que je voulais réussir, je n’aurais jamais eu le courage de recommencer une année, mais ce n’est pas pour autant que j’étais la tête de la classe, je me contentais juste de la moyenne et ça me réussissait plutôt bien. En fait, je dois avouer que je ne pensais qu’à une seule chose, terminer le lycée et m’entrainer encore et encore, afin de devenir une grande danseuse, je me disais que j’avais tout pour réussir, avec les nombreux concours que j’ai gagné j’avais un public qui me suivait, j’étais en quelque sorte devenue la petite star du village. Mais mes parents en avaient décidés autrement pour moi, c’est comme si ils avaient programmés ma vie, mon avenir, mes moindres faits et gestes, et ça je l’ai supporté un moment, jusqu’au jour ou… Ils m’ont inscrite à l’université, alors que je ne leur avais rien demandé, je leur avais d’ailleurs précisé que je ne souhaitais pas poursuivre mes études, que je voulais juste me consacrer à la danse, je voulais que ça devienne mon gagne pain et j’étais sure d’y parvenir, en tout cas j’en avais la volonté, mais eux, ils pensaient tout le contraire, ils imaginaient que ça allait me passer, alors pourquoi attendre que ça arrive, il valait mieux m’inscrire à l’université tout de suite. Bien sur, je n’ai pas pris la nouvelle comme ils l’espéraient, j’ai piqué une crise, une énorme crise et sur un coup de tête j’ai pris la décision de m’en aller, de partir loin de mes parents, de ma sœur… Le lendemain matin j’étais loin et je leur ai laissé pour simple explication un mot écrit de ma main. J’avais à peine dix-sept ans quand je me suis retrouvée seule à Las Vegas. J’étais pertinemment consciente que je devais me trouver un emploie rapidement, sinon j’aurais du très vite faire demi-tour et rentrer à la maison et la seule chose que j’ai réussis à trouver dans le domaine que je souhaitais ça a été ; Danseuse exotique. Ok, j’admets que je n’avais pas l’impression de danser, je ne faisais que me trémousser d’une manière sexy pour satisfaire les pervers qui venaient me voir. Du coup, j’ai vite perdu confiance envers les hommes, je pensais qu’ils étaient tous les même, qu’ils ne pensaient qu’a une seule chose… Sinon, jusqu’ à mes vingt et un ans, et jusqu’au jour ou j’ai décidé de prendre l’avion pour Tokyo, il ne sait pas passer grand-chose. J’ai toujours gardé le même job, bien que j’ai fini par le détester. Je vivais dans un petit appartement et j’étais assez « connue » à Las Vegas, enfin j’étais connue pour mes fesses et mes danses, j’étais devenue le cauchemar des femmes mariées et pourtant je ne faisais que danser. Entre temps, les hommes ont défilés dans mon lit, mais je n’ai pas vraiment eu de relations sérieuses, parce que pour moi une relation est basée sur la confiance et comment faire quand on a plus confiance en aucun homme ? Bref. Je commençais à me dire que ma vie était devenue pitoyable jusqu’au jour ou j’ai reçu une lettre, une lettre de ma sœur, me disant qu’elle prenait le vol NY – Tokyo grâce à l’argent qu’elle avait gagné en participant à un concours, ou quelque chose du genre. J’ai tout de suite sauté sur l’occasion, j’avais vraiment envie de la revoir alors j’ai directement été m’acheter un billet d’avion pour Tokyo… Le jour j est arrivé, j’ai embarqué avec l’espoir d’apercevoir Apple et vous connaissez la suite…

Pas d'idée(s) ? ♣ Mon ancienne meilleure amie. Nous nous connaissons depuis très longtemps et nous avons toujours tout partagé jusqu’au jour ou…tu me faisais confiance et la seule chose que j’ai trouvé à faire c’est coucher avec ton petit ami, depuis ce temps là, nous sommes devenues ennemies. Je suis désolée mais, je ne peux pas changer le passé… ♀ ♣ Suis moi, je te fuis…Fuis moi, je te suis. Entre nous ça a toujours été comme ça et ça depuis que nous nous sommes rencontrés sur l’île. Quand ce n’est pas toi qui me cherche, c’est moi. Un jeu de séduction s’est installé entre nous mais il ne s’est pourtant encore rien passé. Qui craquera le premier ? ♂ ♣ Quand je me sens mal, vulnérable, que je ne suis plus certaine de rien, je viens te voir. Tu trouves toujours les mots pour me consoler, me réconforter et tu ne me remballe jamais. Je ne sais pas ce que je ferais sens toi, tu es comme un sorte de bouée de sauvetage à laquelle je me raccroche. ♂ ou ♀ ♣ Cap ou pas cap de… C’est stupide, c’est futile et pourtant nous ne pouvons pas nous en empêcher. Tu me lance un défi et tu peux être sure que je ne serais pas résister à l’envie de le relever et c’est pareil de ton côté… Le hic, c’est qu’à cause de ça, on s’attire les foudres de pas mal de gens. ♂ ou ♀ ♣ On ne se quitte plus, on se raconte tout. Nous sommes très proches, et nous pouvons compter l’un sur l’autre dans n’importe qu’elle situation. Si l’un se sent mal, l’autre se sent concerner et essaye de faire tout son possible pour lui remonter le moral, si l’un a des problèmes l’autre essaye de trouver des solutions… C’est surement ça avoir des meilleurs amis. ♂ et ♀ ♣ Y’a des fois ou je me dis que tu es né pour m’embêter. Je t’évite le plus possible car je ne peux plus te supporter. Pourquoi tu ne me lâche pas un peu avec tes blagues débiles et autres ? A chaque fois tu me pousse à bout, mais je pense que c’est ton but en fait… Pourquoi tu n’irais pas trouver quelqu’un d’autre à ennuyer, hein ? ♂