OLYMPUS TRAGEDY ™
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 « Y’a comme un Hic »♪ Pv Hadés ♥

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perséphone c. swan

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« Y’a comme un Hic »♪ Pv Hadés ♥ _
MessageSujet: « Y’a comme un Hic »♪ Pv Hadés ♥   « Y’a comme un Hic »♪ Pv Hadés ♥ Icon_minitimeVen 2 Juil - 3:09


Perséphone
&' Hadés



« Y’a comme un Hic »♪ Pv Hadés ♥ Jessicastamicon002 « Y’a comme un Hic »♪ Pv Hadés ♥ Ian-Somerhalder-ian-somerhalder-13385309-100-100
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    Ce matin, Perséphone c’était faite réveillée comme un peu prés chaque matin par une portière qui claque. Une portière de voiture ? Oui c’était bien ça. Malgré tous les efforts qu’Hadès faisait pour se montrer discret, il réveillait presque tout le temps sa chère femme mais elle se gardait bien de lui dire. Tout aurait pu paraître normal… La déesse se trouvait dans une grande chambre, glissé sous des draps en satin bleu et pourtant tout lui paraissait bizarre. Mal réveillée, avec un sacré mal de tête, elle avait surement du prendre une bonne cuite le veille. D’un bon, elle avait sauté de son grand lit et s’était dirigée vers la fenêtre, lentement, discrètement, elle avait écarté la tenture pour observer la personne qui s’en allait. Malheureusement elle eut juste le temps de voir le derrière d’une Ferrari… Une Ferrari ? La, elle tombait de haut, qu’est ce que faisait un voiture de ce genre garé devant chez…Chez qui ? Perséphone fronça les sourcils et se retourna pour faire face à la - sa – chambre. Mais ou était elle encore tombée ? C’est bien ce qu’elle se demandait…Et ou était Déméter ? Est-ce que c’est ma maison ? Elle s’était alors sur le coup, dit que c’était impossible qu’elle devait rêver mais après une longue…très longue inspection de cette chambre, il avait bien fallut qu’elle se résigne. Elle était chez elle, pas de doute, elle avait retrouvé des vêtements féminins, des bottes jusqu’aux escarpins et même des convers. Oui tout ça lui appartenait, enfin elle en avait bien l’impression. Etrange, non ? Mais c’était comme un pressentiment. D’ailleurs peut-être avait elle eu ce « pressentiment » pour sa garde robe mais pas pour cette luxueuse maison. Sur la pointe des pieds – parce que sait on jamais que quelqu’un d’autres vivent ici – elle s’était glissée hors de la chambre pour aboutir dans un couloir, recouvert de parquet. De la elle distinguait quarte portes en comptant celle de « sa » chambre. Une à une – en s’assurant bien sur qu’aucun bruit ne provenait de l’intérieur – elle les ouvrit, sur sa gauche la salle d’eau, la porte suivante un bureau et celle sur sa droite en face du bureau… Une autre chambre ? La pièce ressemblait plutôt à un grand foutoir selon la déesse, d’accord son ordre n’était pas impeccable loin de la, mais la personne qui dormait dans cet endroit y allait fort – très fort. Bref elle ne s’y attarda pas, elle ne s’attarda d’ailleurs nulle part, et avant même de visiter le bas de la maison, Pers’ alla s’enfermer dans la salle de bain. En un temps record, plus au moins quinze minutes, elle était coiffée, maquillée et même habillée, en effet, elle avait prit les vêtements - short en jeans, tunique noir avec des fleurs rouges comme motif ainsi qu'un large décolleté qui laissait un joli aperçu de sa poitrine, ainsi que des talons aiguilles de 8 cm ornés d’un nœud – se trouvant dans le bidet, elle avait surement du les laisser la, la veille. Enfin, c’est ce qu’elle supposait. Mais qu’est ce qui était en train de se passer bon sang ? Elle avait envie de crier, hurler… Impossible que tout cela soit du à une bonne vieille cuite. D’ailleurs avec qui aurait-elle pu aller se bourrée ? Bref, elle secoua la tête afin de reprendre ses esprits – ce qui ne changea rien à la situation – et prit son courage à deux mains pour descendre examiner le bas de cette demeure. Comme il fallait s’y attendre; salon en cuir, salle à manger en bois clair et cuisine grand luxe. Elle était riche à ce point ? Rapidement – plutôt en un éclair – elle avait traversé le salon pour aller se « réfugier dans la cuisine », en fait elle n’avait qu’une seule envie : partir, loin, très loin de cette maison, de cette… Ou se trouvait-elle ? Elle fixa un point à l’horizon – elle fait toujours ca quand elle réfléchit – afin d’essayer de se souvenir… Avait elle reçut un coup de batte sur la tête, ou quoi ? Comment est-ce possible de ne plus se remémorer dans qu’elle ville on peut bien se trouver ? Perséphone s’appuya contre un mur, posa ses deux mains contres son visage, il fallait se ressaisir c’était indispensable. Avant tout, une chose – et surement le seule – dont elle était certaine c’est qu’elle mourrait de faim et son estomac était tout à fait d’accord vu le bruit qu’il produisait. Elle jeta un coup d’œil au frigo, puis opta pour une simple pomme se trouvant au milieu d’une table, dans un panier avec d’autres fruits. Bon d’accord elle n’était peut-être pas rassasiée, mais elle ne voulait pas rester plus longtemps ici. Qui sait quelqu’un pouvait se ramener, la maintenant. Et si elle n’était pas chez elle? Et si elle avait passé la nuit avec un homme? Et si cet homme était marié à une femme qui risquait de débarquer d’un moment à l’autre? Ce n’est pas parce qu’elle était une déesse qu’elle avait envie de se faire surprendre et qu’elle avait le droit de briser un couple, donc d’un pas rapide, Perséphone se dirigea vers la porte d’entrée et dévala précipitamment le grande allée pour finir assise dans un taxi. Le chauffeur – un vieux, aux cheveux grisonnant – a éclaté de rire quand pers’ lui demanda ou elle était. Il faut bien avouer, elle avait eut envie de le massacrer, de lui tordre le coup… Mais à la place elle s’était contentée d’acquiescer et de lui demander de l’emmener dans le plus grand centre commercial du coin. Pourquoi un telle endroit ? Tout simplement car c’était là-bas qu’elle avait le plus de chance de rencontrer quelqu’un qu’elle connaît, ou plutôt qui la connaît. Après avoir jeté en pleine figure du chauffeur son argent, elle était partie à toute vitesse, se dirigeant vers les portes coulissantes du Rockefeller Center, comme une enseigne l’indiquait. Tout d’abord tout ça avait été plutôt distrayant – même si elle ne savait toujours pas comment elle était arrivée sous des draps en satin bleu – la chance d’être amnésique c’est qu’on ne se souvient plus des endroits qu’on a déjà visité autrefois, à supposé qu’elle était déjà venue ici. Mais au bout de deux longues heures, à avoir fait le tour des magasins, dans les moindres recoins, sans bien sur n’avoir rien pu pouvoir acheter, étant donné qu' elle n’avait pas d’argent sur elle – d’ailleurs encore heureux qu’elle avait mit se short sinon elle n’aurait pas su payer le taxi – on se lassait. Effectivement, elle ne pouvait pas non plus aller manger, et la simple pomme de ce matin ne lui suffisait plus. L'horloge indiquait midi, et le centre se remplissait à vue d'oeil étant donné que tout le monde prenait sa pose déjeuné, mais pourtant personne ne semblait la reconnaître. Oh parfois bien sur, elle y avait cru mais non, elle se faisait juste accoster, draguer… D’ailleurs en parlant de se faire draguer, un homme – grand, blond, yeux verts. En somme pas du tout son genre puisqu’elle préférait les bruns, aux yeux bleus – c’était levé du banc ou il l’observait depuis un moment. Pers’ se dit alors que la dernière chose dont elle désirait avoir à faire, c’était bien un mec collant et le pire pas du tout mais alors pas du tout son style d’homme.

      « Et ma belle ça te dit de venir faire un petit tour chez moi ? »


    Dans le genre gros boulet on ne peut pas faire mieux. Cet abrutit pensait la mettre dans son lit si facilement ? Non mais, il se met le doigt dans l’œil et en plus de ça, il n’a vraiment aucun tact pour parler aux femmes. A ce demander s’il avait déjà réussit à en attirer une dans son lit avec cette technique.

      « Va voir ailleurs ! » à t’elle finalement lâché sur un ton énervé et glacial.


    D’un pas bien décider, Perséphone voulu partir et à sa plus grand surprise, le blond lui attrapa violement le bras. Apparemment il n’aimait pas se faire remballer. Obligeant la belle déesse à le regarder dans les yeux, il lui dit ;

      « Je t’ai demandé si tu voulais venir faire un tour chez moi ? »


    Bon, voilà deux fois qu’il répétait cela et même si cette futile phrase était toujours tournée sous forme de question à priori ce n’en était pas une.

      « Lâchez-moi, immédiatement !! »


    Perséphone avait juste eut le temps d’articuler ces quelques mots avant qu’il lui sert le bras encore plus fort et qu’il resserre son étreinte sur elle. De la, ou elle se trouvait, elle pouvait entendre les rires des amis de ce pauvre type. Mais avant que ses lèvres aient eux le temps de toucher celle de la déesse, ce salopard se fit empoigner par le cou, par un grand homme brun, qui semblait immense comparé à ce gringalet. Bien vite, elle comprit que ce n’était autre qu’Hadès, son oncle.


Dernière édition par Perséphone C. Swan le Jeu 26 Aoû - 3:25, édité 6 fois
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Hadès Swan

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MessageSujet: Re: « Y’a comme un Hic »♪ Pv Hadés ♥   « Y’a comme un Hic »♪ Pv Hadés ♥ Icon_minitimeVen 2 Juil - 13:57



Ce matin là, comme tous les matins depuis qu'ils étaient à New York, Hadès s'extirpa des draps pour aller revêtir un smocking : aujourd'hui un Armani qui cadrait particulièrement bien avec sa fonction de juge. De bonne humeur aujourd'hui, il s'autorisa un copieux petit déjeuner - bacon ; oeufs brouillés ; toast et jus d'orange, avant de fermer la porte de chez eux le plus discrétement possible, veillant à ne pas réveiller sa femme chérie qui dormait encore. Dans l'ascenseur, il profita de la glace pour s'inspecter, et se trouva particulièrement séduisant aujourd'hui . Oh oui, les jurés femmes allaient encore papilloner du regard et sa secrétaire ne cesserait de minauder . Mais il était fidèle - du moins en ce moment il l'était - et ils trouvaient les humains bien fades comparées aux déesses et ... à Perséphone . Il lui en avait fait voir des belles, ces derniers temps,mais pourtant elle avait accepté de le reprendre et de vivre à nouveau avec lui, et avait même accouché de leur premier enfant : Séléné . Mais ça, Hadès ne pouvait en parler au boulot . Comment expliquer à ces imbéciles que sa fille avait eut une croissance accélérée, et qu'à présent elle avait tous les airs et les atouts d'une jeune femme de 17 ans ? Non, il avait largement préféré dire que le bébé était mort en couche, les gens l'avaient salué d'un air compatissant, avait posé une main consolatrice sur son épaule et étaient passés à autre chose . D'un regard en cercle, il essaya de décider quelle voiture il allait prendre aujourd'hui. Il opta pour sa ferrari noire flambant neuve qui avait beaucoup de succès en ce moment. L'intérieur était matelassé et en cuir, le GPS incorporé et en plus elle marchait à l'électricité et respectait l'environnement. D'une main habile, il pila pour sortir du garage et partit vers son travail en sifflotant "I feel good", en ponctuant ses sifflottements par des "So gooood". Le soleil était à peine levé sur la grosse pomme et le tout balançait une couleur orangée sur la ville endormie. Quelques amoureux se tenaient la main, de vieils hommes prenaient leur café matinal, et des femmes d'affaires lisait le TIMES, leurs lunettes stricts sur le bout du nez qui leur donnerait un petit air comique si elles n'avaient pas été aussi sévères. Hadès salua d'un signe de la main un clochard à qui il venait souvent parler : Cet homme en savait plus sur la vie que la plupart des hommes, et il le suspectait de connaître l'existence des dieux. C'était toujours enrichissant de discuter avec lui, on était toujours surpris par ses réfléxions d'une grande philosophie et rarement cynique, chose étonnant au regard de la situation du mendiant. Mais non, il prenait tout avec humour. Le dieu des morts s'était promis qu'il ferait quelque chose pour améliorer sa vie, d'une manière ou d'un autre, et puis c'est aussi cela le rôle d'un dieu : des petits gestes qui se voyait rarement mais qui avait d'immense impact , l'effet papillon en somme. Le procès qu'il était en train de faire durait maintenant depuis presque deux semaines, pour une sordide affaire de meurtre . Autant vous dire que le dieu n'était pas ravi de s'y rendre . On était pas sure de la culpabilité de l'accusé, et quand bien même eut il été coupable, sa santé mental le rendait impossible à juger correctement. Assis sur sa chaise surélevé, Hadès passa une main dans ses cheveux. Voilà maintenant deux heures qu'ils écoutaient des témoins de la victime et des témoins de l'accusé, tous les deux rapportant des choses extrémement différentes. Il commençait à avoir marrre de leurs jérémiades et leva une main pour demander une pause de deux heures. Puis, il se leva et laissa en plan les avocats qui écumait de rage, et postillonnaient l'un sur l'autre, se mettant un devoir de détromper leur collègue dès qu'ils en avaient l'occasion. Le juge qu'il était les soupçonnait de coucher ensemble . Dans les couloirs du palais de justice, il erra pendant dix minutes, son terrible sens de l'orientation ne lui permettant pas de trouver la sortie . Pour finir, il demanda à trois personnes qui lui donnèrent trois chemins différents et c'est à bout de souffle qu'il se fit raccompagner à la sortie par l'un des concierges bienveillant, sa bonne humeur légèrement mise à l'épreuve. Posant ses yeux sur sa montre, il vit que les deux heures étaient à peine entamer et décida d'aller boire un frappushino au Starbucks du coin, puis finalement changea d'avis, prit sa voiture et conduisit jusqu'au centre commercial. Oui, Monsieur Swan adorait le shopping, il avait lu tous les "Confessions d'une accro au shopping", attendait avec impatience la saison 4 de Gossip Girl et trouvait que Damon Salvatore de la série Vampire Diaries était l'homme (Sinon le Vampire) le plus sexy du monde tant il lui ressemblait . Toutes ces choses qui faisait de lui un homme à part et amusait les autres dieux. Entrant d'une démarche assurée dans le RockFeller Center, il constata que les portes coulissantes avaient enfin étaient réparées après qu'un vendale ait jeté un marteau piqueur dessus et se soit enfuit en courant, après se faire arrêter par la police trois rues plus tard parce qu'il avait été surpris en train de voler un vélo. L'intérieur était propre, luxueux. Il donnait envie d'acheter encore et encore . Tenant fermement son porte monnaie, il s'avança dans l'allée principale, jetant un regard de délectation sur les vêtements masculins qui lui plaisait. Il était midi, à présent, et son estomac gargouillait de plus en plus, tout comme le centre commercial s'emplissait à vue d'oeil. Il allait partir pour manger un hot dog ou quelque chose tout aussi diététique, quand il reconnu une silhouette mince en contrebas. Ce n'était pas n'importe quelle silhouette blonde, puisqu'en réalité il s'agissait de sa femme qui, en l'occurence, semblait avoir des problèmes avec un grand blond qui lui tenait fermement le bras, tandis que sa bande d'imbécile matait. Ni une ni deux, il descendit les marches : pas question que quiconque touche à la femme qu'il aimait, et surtout pas ce gros balourd prétentieux qui se croyait intelligent et drôle. D'une poigne forte et assurée, il le saisit au col et le détacha de Perséphone, puis alla le coller contre un mur brusquement. Il vit qu'il avait un peu ouvert le crâne de cette mauvaise graine, mais rien de grave. Seulement, la vue du sang excita encore plus sa fureur et il lui balança un coup de poing bien dosé dans le nez. Entendant un gros craquement, il sourit et donna un coup de genoux à l'endroit si sensible des hommes. Ce dernier hoqueta, de frayeur mais surtout de douleur, et quand Hadès le lâcha il tomba plié en deux sur le sol. D'un voix forte, le dieu cria :


« Si tu retouches encore UNE SEULE FOIS ma femme, je te couperai cet organe qui te sers de cerveau et je le donnerai à manger à mon chien ! »

Comme par magie, Cerbère arriva en aboyant, les crocs retroussés et les yeux rougeoyant d'une lueur inquiétante. Hadès s'exclama à l'intention des gars qui étaient restés en retrait face à ce déferlement de violence.


« Que cela vous serve de leçon, si jamais vous l'importunez encore une fois, vous saurez ce que c'est la colère divine . »

Les pseudos "racailles" s'en allèrent sans demander leur reste, et Hadès alla enlacer Perséphone tendrement, avant de poser ses lèvres sur les siennes. Soudain, il se rendit compte qu'elle lui résistait ... Ouvrant ses deux yeux bleus, il la jaugea, essayant de lire à travers ses pupilles noires quel était le problème. Mais il ne rencontra qu'un grand vide. Effrayé, il s'éloigna et demanda précipitement:


« Perséphone, tu vas bien ? Tu n'as pas l'air dans ton assiette ... »

Prenant le parti de ne pas lui laisser le temps de lui répondre, il l'emmena à la terrasse du restaurant le plus proche, commanda deux assiettes steack frites (pas de temps pour le romantisme ...) prit sa main et murmura ...


« Je ne m'attendais pas à te voir au centre commercial, tu m'avais dis que tu avais un rendez vous pour un massage ... »

Perséphone adorait les massages, rien n'aurait pu la dissuader de ne pas y aller .
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MessageSujet: Re: « Y’a comme un Hic »♪ Pv Hadés ♥   « Y’a comme un Hic »♪ Pv Hadés ♥ Icon_minitimeDim 4 Juil - 1:03

Soulagée, c’est bien le mot. Il faut bien avouer que la déesse déteste les boulets du genre qu’elle venait de rencontrer. Avec sa longue chevelure blonde, sa silhouette mince, ils la prenaient tous pour une fausse blonde décolorée avec un petit pois à la place cerveau, alors qu’en réalité elle était tout le contraire. En retrait – parce que oui, elle préférait laisser Hadès régler son compte à se pauvre type – elle observa la scène, tout en se passant une main dans ses cheveux comme pour les remettre en place. On peut dire qu’elle y avait échappé belle, rien qu’a penser aux lèvres du blond collées aux siennes, elle avait envie de vomir… De toute façon, même si son oncle n’était pas venu la sortir de ce pétrin, cet imbécile aurait quand même passé un mouvais moment, car Perséphone n’était pas une demoiselle en détresse même si elle correspondait parfaitement à ce rôle, que les hommes lui attribuaient souvent d’ailleurs, mais par la suite ils se rendaient bien vite compte de leur erreur – bah oui leur partie génitale passait un mauvais quart d’heure. Après le soulagement, vint l’étonnement, aussi étrange que ça puisse paraître. Pourquoi est-ce que le dieu des enfers venait de dire « Si tu retouche encore une seule fois à ma FEMME… » Femme ? Heureusement, Perséphone eut bien vite une théorie sur ce point, selon la belle déesse il avait sans aucun doute dit cela pour donner plus d’ampleur à la situation. Déjà de un, quand on avait à faire à un homme comme Hadès ça dissuadait à moitié mais en plus quand on s’en prenait à la « femme » de celui-ci, ça dissuadait totalement et en un éclair. Le hic, c’est que sa théorie perdit toute logique quand celui-ci vint l’embrasser. Mais qu’est ce qu’il faisait ? Perséphone eut un mouvement de recule mais il était tellement fort qu’il ne sentait presque pas qu’elle essayait de le repousser. Non, elle n’était pas du genre inceste – enfin c’est ce qu’elle croit – rien qu’en pensant à Zeus et Héra, elle avait la tête qui tourne. Mais bon sang ! Nom de dieu ! Pourquoi est-ce que son oncle ne la lâchait pas ? Quand il comprit – enfin, parce qu’il était temps – qu’elle était en train de le pousser de toute ses forces, il a décollé ses lèvres… Hadès lâcha ensuite quelque chose mais Perséphone ne capta pas bien ce qu’il venait de lui dire, parce que elle était en train d’essayer de reprendre ses esprits et de comprendre. Comprendre quoi ? Il n’y avait rien à comprendre son ONCLE venait délibérément de lui sauter dessus, de l’embrasser. Mais qu’est ce qu’il lui prend à celui là ? Il ne trouve personne d’autres à aller embrasser que sa nièce ? Pourtant si elle se souvient bien il a pas mal de succès auprès des muses, des nymphes… Bref, la déesse n’eut pas le temps de pousser ses réflexions plus loin, car elle fut tirée par Hadès vers un restaurant – Oh qu’elle bonne idée pensa t’elle – même si elle aurait préféré être en « meilleure » compagnie. Pers’ assise et faisant face à Hadès qui venait de commander un steak fritte, dévisageait son sauveur – si on peut dire. Elle s’était dit pendant une fraction de seconde que ce ne pouvait pas être lui, que c’était quelqu’un d’autres et qu’elle avait confondu. Mais non, sans aucune hésitation, c’était bien lui, elle le reconnaitrait entre mille car il faut bien l’avouer, elle le trouve super sexy, mais enfin bref passons puisque c’est son oncle, son oncle quoi… Mentalement elle se le répétait. D’un geste brusque – vu qu’elle était un peu perdue dans ses pensées – elle enleva sa main, qu’Hadès venait de lui prendre et le regarda d’un air choqué, tout en fronçant les sourcils. D’abord de un, ces gestes d’affections commençaient sérieusement à l’énerver et à la fois à la gêner et ensuite, elle ne se souvenait pas du tout qu’elle avait prit un rendez-vous pour un massage. Comment ne pas se souvenir de ça ? Elle secoua sa tête comme pour la vider avant de prendre la parole ;

    « De un, tu va m’expliquer pourquoi est-ce que tu mon appelé « ta femme », c’est quoi cette histoire ?! »


Avant qu’elle puisse continuer, le serveur l’interrompit et déposa son assiette devant elle. Perséphone attendit que celui-ci soit loin, pour ne pas qu’il entende ce qu’elle avait à dire. Elle ne voulait pas faire de scène, mais si elle était presque sure que cette entrevue allait se terminer comme ça.

    « Non, avant tout, tu va me dire pourquoi est-ce que tu ma embrassé ?! Ce n’est pas possible tu as un sérieux problème ! Qu’est ce qui te prend, je dois te rappeler que tu es mon ONCLE ! Oh ! Ca me dégoute rien qu’à y penser ! Tu ne sais plus te faire de femmes ou quoi ?! Alors tu te jette sur n'importe qui ! »


En regardant le visage d’Hadès, elle eut l’impression de parler une autre langue, ce n’est pourtant pas chinois de comprendre ce qu’elle venait de dire. Perséphone voulu aussi se lever et s’en aller… Mais pour aller ou ? Elle avait l’impression que son esprit était devenu un grand trou noir. Elle ne savait même pas si la maison qu’elle avait visité quelques heures auparavant était la sienne. Complètement perdue, elle se massa les tempes, tout en essayant de se détendre avant de manger quelques frittes et une bouchée de steak. Qu’est ce que ça faisait du bien de manger, d’ailleurs c’est aussi pour ça qu’elle ne s’en allait pas, la déesse avait vraiment trop faim. Elle fixa ensuite, avec un regard glacial le dieu des enfers, elle attendait un réponse et une bonne !



[Désolé c'est court...Mais avec le bouffon qui est avec moi j'ai eut du mal à me concentrer --']


Dernière édition par Perséphone C. Swan le Mar 17 Aoû - 2:30, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: « Y’a comme un Hic »♪ Pv Hadés ♥   « Y’a comme un Hic »♪ Pv Hadés ♥ Icon_minitimeDim 4 Juil - 2:19

Après qu'il eut joué son chevalier servant auprès de sa dame, il décida d'aller chercher le prix pour l'avoir aidé : un baiser, tout ce qui a de plus normal n'est ce pas ? Mais la princesse en détresse ne semblait pas vouloir de prince pour la sortir de son chateau gardé par un dragon furieux aux griffes acérées et le repoussa sans ménagements.... Bon, cessons les métaphores débiles. Hadès ne comprenait pas. Qu'est ce qui lui valait une réaction aussi négative de Perséphone ? Oui, d'accord, il avait bien de choses à se faire pardonner, mais il lui semblait qu'elle avait passé outre quand elle avait accepté qu'il revienne à la maison.... Un air tout triste sur le visage, il la contempla. Quelque chose ne tournait définitivement pas rond, mais quoi ? Etait-ce cette expression si juvénile sur le visage de sa femme, auparavant si sage et si avisé. De plus elle avait l'air ... perdue, ce qui changeait totalement de son air sûr d'elle, d'habitude, quand elle lui dictait ce qu'elle souhaitait faire, où elle voulait aller, et qui le poussait à lui obéir au doigt et à l'oeil tant il craignait sa réaction si jamais il refusait. Soudain, une idée lui traversa l'esprit : Peut-être jouait-elle un jeu, s'amusant à malmener ses sentiments pour qu'il la reconquiert ? Ce qu'elle dit par la suite lui fit l'effet d'une douche froide, non ce n'était définitivement pas un jeu et aucun des adversaires n'y trouvaient du plaisir ou de l'amusement.

« De un, tu va m’expliquer pourquoi est-ce que tu mon appelé « ta femme », c’est quoi cette histoire ?! »

Choqué comme jamais, il ouvrit la bouche une fois, deux fois, sans trouver la force de donner une réponse satisfaisante. Jouissait elle de le torturer de la sortes ? Riait elle en son for intérieur de toutes les émotions contradictoires qu'elle provoquait dans l'esprit du dieu des enfers ? Nauséeux, il se demanda si c'était vraiment sa femme qu'il avait en face, jamais celle qu'il avait épousé ne se serait réjouis de ces tentatives cruelles de le blesser. Il ferma ses yeux pour retrouver la paix intérieure qu'il avait ressentie ce matin en se levant. Inspirant à plusieurs reprises, il pria - chose idiote, il était dieu - pour que les choses s'arrangent au plus vite, qu'il puisse manger tranquillement, embrasse la jolie blonde en face de lui en rigolant de sa bêtise d'y avoir cru et retourne travailler. Si seulement il savait. D'une main maladroite, il coupa sa viande, se défoulant sur la chaire morte au point qu'il cassa l'assiette en deux. N'étant pas d'humeur à se disputer avec le serveur, il conseilla mentalement à ce dernier d'aller se faire voir. Il ne se le fit pas dire deux fois, les dieux inspirent une crainte et un respect muet et inconscient qui n'avait pas besoin de mot pour s'exprimer. Ce fut limite si l'employé ne fit pas une révérence en s'éloignant de la table.

« Pers', je ne comprend pas, qu'est ce que j'ai fais ? Je comprend bien que j'ai beaucoup de choses à me faire pardonner, mais je croyais que tu avais décidé d'oublier mes erreurs après la naissance de Séléné, notre fille ... A quoi joues tu mon amour ? »

La jolie déesse semblait bien énervée, mais plus que la colère la chose qui fit le plus mal à Hadès fut le dégout dans ses yeux et dans sa voix. Elle avait l'air de répugner chaque contact physique témoin de sa tendresse. Pour vérifier cette hypothèse, le frère de Zeus caressa le bras de la blonde, et elle le retira aussitôt et ce sans ménagement. Il baissa la tête en signe d'allégation. Avait il mérité ce mépris ? Au moment où son couple remontait à flot ? Il n'en revenait toujours pas. Il hésitait entre la déception et la tristesse. De se voir si impuissant, il serra les poings et les dents, retenant à peine une larme de rage sur sa joue. Il n'en fallait pas beaucoup pour le faire pleurer, en voici un autre preuve. Précipitamment, il effaça la petite goutte salée, n'aimant pas que l'on remette en cause sa virilité.

« Non, avant tout, tu va me dire pourquoi est-ce que tu ma embrassé ?! Ce n’est pas possible tu as un sérieux problème ! Qu’est ce qui te prend, je dois te rappeler que tu es mon ONCLE ! Oh ! Ca me dégoute rien qu’à y penser ! Tu ne sais plus te faire de femmes ou quoi ?! Alors tu te jette sur n'importe qui ! »

Le dieu des enfers se sentait humilié et de fort méchante humeur. Se levant, il posa un genoux devant la mère de sa fille et mis sa main sur la joue de celle qui venait de l'insulter de la sortes. Les yeux implorants, il supplia:

« Chérie, dis moi que tu rigoles ... Tu .... Je ... Nous sommes mariés, et ce depuis des millénaires, ne me dis pas que tu as oublié ça ? Tu te fous de ma gueule pas vrai ? »

Il attendit une réponse dans le silence le plus total, en effet son mal être s'était transmis à tous les clients du restaurant qui avait préféré s'en aller plutôt que de rester en ce lieu qui dégageait tant d'énergie négative. La pièce était quasiment vide, au grand désespoir du gérant.
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MessageSujet: Re: « Y’a comme un Hic »♪ Pv Hadés ♥   « Y’a comme un Hic »♪ Pv Hadés ♥ Icon_minitimeMar 17 Aoû - 3:57

[ Á relire et recorriger car il était tard quand j'ai posté alors il y a surement encore beaucoup de fautes xD ]

    Je n’avais pas remarqué mais tous les clients sauf quelques uns qui semblaient fascinés par la scène qui se déroulait devant leurs yeux avaient quittés le restaurant. Etait-ce du à tout ce dégagement d’ondes négatives ? C’était fort possible mais ça m’était complètement égal. Qu’est ce qui se passait aujourd’hui bon sang ? Il fallait absolument que je comprenne, tout mais vraiment tout, m’était étranger. Je ne reconnaissais rien, non plus rien. Je me suis demandée pendant une fraction de seconde si je perdais la tête mais non. Je savais exactement qui j’étais et je n’étais pas prête de l’oublier. J’ai d’ailleurs -pour me rassurer- répété un petit speech dans ma tête comme si je devais me présenter à une personne que je n’avais jamais rencontrée auparavant ; « Je me prénomme Perséphone Coré Swan. Je suis la fille de Déméter déesse de l’agriculture et de Zeus, le roi des Dieux. Je suis célibataire et je n’ai… » Je me suis bloquée nette. Non, je n’ai pas de fille. Mais qu’est ce qu’il venait de me sortir celui-là ? Je savais déjà que mon oncle était un peu...comment dire ? Détraqué. Je peux comprendre ça ne doit pas être évident de vivre en enfer et en plus seul, quoiqu’il n’est pas souvent seul puisqu’il reçoit la visite de pas mal de femmes. D’ailleurs, je ne les comprends pas celles-là, d’accord il est beau comme…comme un Dieu, mais il faut être cinglée pour trainer avec un type pareil, non ? En tout cas, je sais de source sure – de moi – que je ne coucherais et que je n’ai jamais couché avec lui, donc par conséquent je n’ai jamais eu d’enfants avec lui. Les enfants ça ne ce fait pas tout seul quand même ! Même Marie n’a pas conçu Jésus toute seule – je le tiens de source sure, j’étais là- enfin, il ne faut pas imaginer que j’observais la scène, non j’étais juste présente à cette époque et je vous confirme que le saint esprit ne la pas mise enceinte ! Bref. Moi, mère ? Impossible. Sauf, si j’ai été droguée mais je ne vois pas qu’elle drogue pourrait faire effet sur moi et puis ce n’est pas le fantasme d’Hadès, du moins je pense, ou je l’espère sinon c’est qu’il est encore plus glauque que je ne le pensais. J’ai secoué la tête comme pour vider mon esprit, toutes ces réflexions m’avaient donnés un mal de crâne affreux. Quand j’ai enfin repris mes esprits, mon oncle était agenouillé devant moi, sa paume posée sur ma joue. Pendant combien de temps avais-je été plongée dans mes réflexions? D’un geste brusque et rapide j’ai repoussé sa main. C’était déjà bien suffisant qu’il m’embrasse, alors maintenant une caresse sur la joue… Trop, c’est trop. J’allais éclater et je dis ça au sens propre mais il a prit la parole avant que je puisse faire ou même dire quoi que ce soit. J’avoue que je ne lui ai pas accordé beaucoup d’attention, j’écoutais seulement d’une oreille distraite ce qu’il me disait, tout simplement car je ne voulais plus entendre toutes les conneries qui sortaient de sa bouche. J’ai quand même fini par le regarder, histoire qu’il lise dans mes yeux que j’en avais marre et qu’il avait intérêt à ne plus me mentir et c'est alors que j'ai vu son visage. Il était en colère, sacrément de mauvaise humeur, je pouvais le deviner rien qu’à son expression mais pourtant sa voix était suppliante et ne trahissait rien de son énervement. J’ai tout de même fini pas écarquiller les yeux en entendant ses paroles, à peine avait-il terminé de parler que j’ouvrais déjà la bouche pour riposter et je peux vous assurer que je n’avais pas l’intention d’essayer de garder mon calme comme il le faisait si bien.

      « Mais tu me sors vraiment n’importe quoi ! Déjà veux-tu bien arrêter de me toucher, tu ne peux même pas imaginer comme ça peut m’énerver ! Ensuite tu va arrêter de sortir des mensonges pareils. Hadès je n’ai jamais eu un seul enfant avec toi, es-ce que c’est clair ? Et pour ton information, arrête de te faire des films, je ne suis mariée à personne, je ne suis pas ta femme, je n’ai même jamais…jamais partagé le même lit que toi ! Je te trouvais déjà étrange avant mais la je te trouve carrément glauque. Ok, je n’ai pas d’ADN mais tu restes mon oncle… Je ne fais pas dans l’inceste comme quasi tous les dieux, je ne suis pas comme ça ! Et franchement tu n’as pas assez de femmes qui rampent à tes pieds ? Crois-moi j’aimerais bien me foutre de ta gueule mais pour le moment j’ai l’impression que c’est l’inverse qui est en train de se produire, alors je te retourne la question ! »

    Dans la seconde qui a suivit j’ai vu le visage du Dieu des enfers changer au moins une dizaine de fois et l’expression qu’il avait finalement décidé d’adopter ne me plaisait pas du tout. Il avait l’air plus qu’énervé et à cet instant j’aurais tout de même du ressentir une once de peur mais non. Je tenais mon fort caractère de ma mère, il était hors de question que je me laisse marcher sur les pieds par qui que ce soit. D’ailleurs pour le moment je n’avais plus qu’une seule envie aller retrouver ma mère pour enfin avoir des explications, mais je n’étais pas sure que mon oncle allait me laisser partir. D’ailleurs j’étais certaine qu’il n’allait tout bonnement pas me laisser partir. On m’avait raconté beaucoup de choses à son sujet, froid, manipulateur, quelque fois agressif, calculateur, charmeur… Pour le dernier point je comprends, il est beau alors pourquoi ce priver mais tout de même il ne devrait pas essayer de m’attirer à lui, moi, sa nièce. Je ne comptais aucunement perdre ma virginité avec lui, ça me répugnait rien que d'y penser. Soudain, je fus prise d’une pulsion de rage, j’en avais marre de me sentir observée par les derniers « courageux » clients du restaurant, je me suis alors levée furieuse, si ils voulaient une scène ils allaient en avoir une. Je me suis retournée vers un type particulièrement agaçant avant de prendre la parole.

      « Quoi ?! Vous avez un problème ? Est-ce que je vous épie moi ? Non parce que je suis polie et vous devriez prendre exemple. Alors arrêtez de me regarder comme ça et bouffez ce que vous avez dans votre foutue assiette de toute façon ça ne revient pas à quelques kilos en plus ! Et vous là-bas vous croyez que je nous vous ai pas vue ! Oui c’est à vous que je parle Madame et vous savez quoi ça ne sert à rien de faire votre belle ! Vous n’attirerez plus jamais un seul homme, vous êtes refaite de partout et je ne suis pas dupe je vois très bien que vous avez passé le cap de la cinquantaine ! Alors allez donc vous payer un gigolo à la place de rester là, à m’observer ! »

    Tout le monde semblait outré, sauf Hadès qui lui avait un sourire accroché aux lèvres. En une seconde j’étais sortie de ce foutu restaurant mais malheureusement on me suivait et oui, j’avais oublié que je lui avais retourné sa propre question. Tant bien que mal, j’essayais de me faufiler le plus vite possible entre les personnes qui me faisaient barrage mais ce fut peine perdue j’ai senti une main m’empoigner le bras.

      « Mais qu’es-ce que tu veux à la fin Hadès ? Je ne goberais jamais toutes tes conneries ! »

    A cet instant, j’avais une furieuse envie de meurtre mais j’ai essayé de me ressaisir et enfin de compte je me suis dis « merde », après tout je n’étais pas à une scène de ménage près alors autant laisser monter ma colère, comme ça au moins il finirait par comprendre que je n’ai rien avoir avec lui, que je ne suis pas sa femme, à moins qu’il aime l’amour vache mais bon, j’en doute quand même. De toute façon « l’amour » est un bien grand mot pour lui, je ne sais même pas si il est capable d’aimer quelqu’un, après tout combien de filles ont déjà défilés dans son lit ?


(J'ai voulu tester le "je" ^^)


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MessageSujet: Re: « Y’a comme un Hic »♪ Pv Hadés ♥   « Y’a comme un Hic »♪ Pv Hadés ♥ Icon_minitimeDim 22 Aoû - 20:01

{ça me donne envie d'essayer :p}

J'en ai marre d'être un dieu, de toutes ces emmerdes, vous croyez qu'il arrive des choses comme ça à ces imbéciles de mortels ? Non ! Pourquoi c'est toujours à moi, le destin est nettement moins tendre avec les êtres éternels, comme le prouve le cas présent. Raah ! Perséphone était et serait toujours l'unique femme qui ait su toucher mon cœur, elle me connaissait mieux personne. Et je pensais la connaître autant. Mais manifestement je me trompais. Ma déesse bien aimée, l'unique en près de quatre milles ans d'existence, me rejetait comme un vulgaire chien trop collant. Et plus elle parlait, plus mon coeur - pauvre petit organe si fragile et si faible - se serrait. Je ravalais du mieux que je pouvais un semblant d'émotion et tentait de garder ma tête aussi froide que les yeux de ma femme. Elle me jaugeait, hors d'elle, je la dégoûtais et ça faisait mal. Ses grandes pupilles d'un bleu de glace me donnait envie de retourner sous terre, car oui c'était ma place en effet. Et la sienne, du moins jusqu'à maintenant. Comment pouvait-elle nier notre amour, notre fille, piétiner comme elle avait piétiné Menthé leur mariage et son affection ? J'avais envie de vomir. Et un feu, plus ancien, brûlait mes entrailles, me remplissant de colère et de méchanceté. J'étais à mon tour hors de moi, j'avais envie de tout casser, d'envoyer valdinguer les tables à l'autre bout du magasin, d'étrangler l'une des serveuses qui se cachait craintivement derrière le bar. Je vis que les verres tremblaient et je compris que ma propre fureur provoquait ceci. Je faillis en rire, puis me dis que ce n'était vraiment pas le moment de rire ou de tenter une plaisanterie. L'ironie de la situation m'énervait au plus haut point. Je me retenais pour ne pas éclater, le self contrôle c'est très peu pour moi, en règle général, surtout à la maison . Nombre de fois je m'étais emporté gentiment contre Perséphone qui laissait trainer ses tampons dans la salle de bain, qui foutait des cheveux partout et ne nettoyait pas la brosse, qui ne faisait pas à manger, mais au fond même si elle n'en foutait pas une c'était comme ça que je l'aimais, et j'adorais m'occuper de notre chez nous malgré qu'en général ce soit plutôt les femmes qui aiment ça. Mais ce n'était vraiment pas le moment de penser à cela, d'autant plus que dans le cas présent je risquais de ne plus jamais lui faire à manger, la border ou quoi que ce soit. Une folie furieuse prenait possession de moi. Calmes toi, Hadès, me dis-je en me le répétant plusieurs fois, mais rien n'y faisait, le voile rouge qui obscurcissait ma vue m'empêchait de redevenir le juge froid et calme que j'étais. Peu importe ce que je disais, Perséphone persistait dans son erreur et son dénie, me traitant de fou, c'est à peine si elle n'appelait pas l'hôpital psychiatrique pour me déclarer malade mental, schizophrène .... Et la détermination dans ses yeux alors qu'elle me déchirait le cœur me faisait même douter de mes propres paroles, elle croyait dur comme fer à ce qu'elle disait et rien que je ne puisse faire ou dire ne la ferait changer d'avis. Ça, je le savais, elle le tenait de sa mère, une véritable peste qui faisait tout pour briser mon couple depuis des millénaires. Pendant quelques secondes, je songeais que maman Déméter serait bien heureuse de voir sa fille amnésique. Peut être même était elle responsable de cela ? Mais non, elle était une belle mère chiante - presque diabolique, dans le genre "je te fous un camembert sous la penderie pour que ta chambre schlingue pendant des semaines et que tu ne saches pas d'où cela vient parce que je sais que tu es maniaque et que tu détestes cela" (sisi je vous assure elle m'a fait le coup !) - mais elle ne ferait rien qui puisse mettre en danger sa fille bien aimée. Je crois ....

    « Mais tu me sors vraiment n’importe quoi ! Déjà veux-tu bien arrêter de me toucher, tu ne peux même pas imaginer comme ça peut m’énerver ! Ensuite tu va arrêter de sortir des mensonges pareils. Hadès je n’ai jamais eu un seul enfant avec toi, es-ce que c’est clair ? Et pour ton information, arrête de te faire des films, je ne suis mariée à personne, je ne suis pas ta femme, je n’ai même jamais…jamais partagé le même lit que toi ! Je te trouvais déjà étrange avant mais la je te trouve carrément glauque. Ok, je n’ai pas d’ADN mais tu restes mon oncle… Je ne fais pas dans l’inceste comme quasi tous les dieux, je ne suis pas comme ça ! Et franchement tu n’as pas assez de femmes qui rampent à tes pieds ? Crois-moi j’aimerais bien me foutre de ta gueule mais pour le moment j’ai l’impression que c’est l’inverse qui est en train de se produire, alors je te retourne la question ! »


Glauque, moi ? Ne pleures pas, Hadès, tu es un homme, qui plus est un dieu ! Allez, mon coco, tu peux le faire, ravales ces vilaines larmes qui te ferait perdre toute crédibilité en tant qu'individu du sexe masculin, regardes là bas il y a un groupe de lycéenne qui t'observes, si tu chiales elles vont rigoler et ça va empirer, tu ne veux quand même pas avoir à changer de tête pour ne plus qu'on reconnaisse celui qui pleurait dans le RockFeller Center ? Tu es très sexy comme tu es, tu n'as pas besoin de changer de corps. Hadès, à trois, tu inspires à fond. Voilà c'est bon. Ce qu'elle venait de me dire m'avait comme qui dirait achevé. Je savais que Perséphone était une femme indépendante (tant qu'elle n'avait pas à se faire à manger, ou à faire le ménage ...) mais pas méchante. Expliques lui, elle comprendra *Oopas* . Je sortis mon porte feuille, non pas pour payer il manquerait plus que ça .... Mais pour montrer la photo de Séléné que je gardais toujours sur moi. Perséphone noterait la ressemblance, j'en étais sur. Et son instinct maternel s'éveillerait.

    « Perséphone, tu peux me nier moi, arguer que tu m'as oublié, mais pas elle ! Tu l'as portée dans ton ventre, tu l'as mise au monde, élevée, tu l'as serrée dans tes bras quand elle était triste, tu l'as consolée, bercée, tu lui as appris ce que tu savais, tu l'as protégée du mieux que tu pouvais ! Tu lui donnais des petits surnoms débiles, Lénou, Lénouille, tu l'as engueulée la première fois qu'elle est rentrée tard, tu t'es fais du soucis pour elle, tu l'as soignée, câlinée, giflée, disputée ! C'est ta fille, tu ne peux pas l'ignorer ? »


Avouons le, j'essayais de la prendre par les sentiments. Mais ma tirade ne fit ni chaud ni froid à la déesse. J'étais déçu d'elle. Déjà, elle était partie engueuler les voyeurs. Je l'écoutais les descendre et casser leurs espoirs, leurs rêves, et je souris. C'était un sourire très amer. Oui, elle avait toujours était franche, j'aimais ça chez elle, mais elle n'avait jamais été méchante ou cassante avec des gens qui ne lui avait rien fait. Je ne l'aurais pas épousée, sinon. Celle que j'aimais était elle disparue à jamais ? Néanmoins, j'étais satisfait d'une chose : Elle semblait aussi avoir oublié l'existence de son amant et de cet enfant qu'elle avait eu avec lui, dans mon dos. Au moins elle n'irait pas pleurer à sa porte pour le supplier de la reprendre, c'était une petite victoire. Toute petite, mais assez précieuse pour que je reprenne un peu de ma force de caractère qui s'était envolée depuis le début de la conversation. Elle partait du restaurant, essayant de mettre le plus de gens possible entre elle et moi. Soit. Je la rattrapais en une seconde à peine, enserrant son poignet délicat avec force sans plus faire attention à si je lui faisais mal ou pas. D'une main, je désignais sa main gauche et la mienne. L'or divin ne mentait pas, et il liait les dieux le jour de leur mariage. Nos alliances avaient été forgées il y a 2 millénaires par Héphaïstos et nous liaient à jamais, je n'avais jamais enlevé la mienne. Nos deux noms étaient forgés dessus. Ma femme s'emporta .

    « Mais qu’es-ce que tu veux à la fin Hadès ? Je ne goberais jamais toutes tes conneries ! »
    « Et ça, c'est des conneries ? Tu crois que je me suis amusée à aller voir Héphaïstos pour qu'il me les fasse, et que je te fasse une mauvaise plaisanterie ? Tu crois que je n'ai pas déjà assez de travail ? Que ma priorité c'est de faire chier le monde ? Je veux bien croire que ce que l'on a pu te raconter sur moi est vrai, mais je ne suis pas QUE le mec qui trie les morts aux enfers, je ne suis pas juste un gars bizarre, je suis aussi ton mari, j'ai un coeur, je t'aime et je croyais que tu me retournais ces sentiments hier encore ! Ce matin, Perséphone, tu peux me dire où tu t'es réveillée ? Tu vas me faire croire que ce n'était pas chez nous ? Que tu n'as pas vu le foutoir de la chambre de Séléné ? Que cette table en bois massif que tu as insisté pour acheter il y a trois mois alors que je la trouvais immonde ne t'appartient pas ? Que nous ne sommes pas allés dans les meilleurs fabricants de cuisine pour choisir la notre, dernier cri ? Que ces habits que tu portes ne viennent pas de ta garde robe ? Si tu n'es pas ma femme, expliques moi bon dieu de merde ce que tu foutais dans MA maison ! »


Il rit jaune.






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MessageSujet: Re: « Y’a comme un Hic »♪ Pv Hadés ♥   « Y’a comme un Hic »♪ Pv Hadés ♥ Icon_minitimeMar 24 Aoû - 22:48

    Evidemment, entendre un discours pareil, ça calme. Ou plutôt, ça embrouille complètement l’esprit. Je croyais dur comme fer à ce que j’avais avancé quelques minutes plus tôt et ça malgré les sois disant preuves. J’avais réussis à nier ses propos, ignorer les photos de cette Séléné censée être ma fille… D’ailleurs je n’avais vu en elle, aucun point commun ou de ressemblance avec moi. Cette jeune fille a les cheveux châtains, moi je suis blonde, elle a des yeux bruns-noisettes et moi j’ai des yeux bleus azur. Vous voyez une ressemblance quelconque entre nous deux, vous ? En tout cas moi non. C’est qu’il est malin le dieu des Enfers, essayer de me prendre par les sentiments. J’avoue que ça aurait peut-être et je dis bien « peut-être » pu marcher, si la demoiselle en question aurait eut quelques concordances avec moi. C’est qu’il avait mal choisit ça photo ! Je me demandais vraiment pourquoi il essayait de m’embobiner ainsi… Je n’ai vraiment rien de spécial et puis pourquoi chercher la difficulté ? C’est tellement mieux la facilité. Mais bon comme j’ai réponse à tout, je savais aussi comment expliquer ce point là. Il voulait tout simplement ce lancer un défi. Il devait surement en avoir marre des muses, des naïades et tout le tra la la, alors il a décidé de s’attaquer à quelqu’un qui ne lui tombera pas facilement dans le bras. Et c’est certain qu’il a alors choisit la bonne personne pour ce défi, parce que je ne comptais pas tomber comme une pauvre fille dans ses bras musclés, non, il n’en était pas question. J’ai d’autres chats à fouetter que de jouer à ce jeu là avec lui. La « Madame je sais tout » que je suis a quand même du ravaler sa salive et ses paroles quand elle a vu l’alliance à son doigt. Pendant un moment et pas qu’un petit moment j’ai observé ma main gauche ainsi que celle d’Hadès en faisant des va et vient avec mon regard. Nos prénoms étaient gravés dessus et c’est vrai qu’il a quand même fallut un instant pour que je trouve une explication logique à tout cela. Je me souvenais très bien avoir vu une alliance pareil au doigt de Zeus, mon père. C’était ce qui liait les dieux et c’était aussi Héphaïstos qui s’occupait de les forger. J’ai retourné et retourné tout ça dans ma tête avant d’en conclure que c’était une vaste plaisanterie comme le reste. Il ne pouvait pas y avoir d’autres explications. Même si c’était un peu tiré par les cheveux je l’avoue mais je ne suis pas prête à accepter le fait que je sois mariée au Dieu des Enfers, parce qu’ensuite on va me sortir que je vis en enfer, cloitrée entre quatre murs… Non, je sais pertinemment que je n’aurais jamais laissé faire ça et que de toute façon Déméter n’aurait pas non plus laissé faire ça. C’est une bonne mère et plutôt mourir que de me voir là-bas, loin d’elle. Enfin, je suppose. Et puis bref. J’avais l’impression de subir un lavage de cerveau et ce n’est pas vraiment très agréable, en plus ça donne la migraine. J’essayais de rester impassible même si j’étais certaine que l’indifférence et la colère se lisaient clairement dans mes yeux, dans mon regard et je pense que c’est ça qui a du énerver mon oncle. Oui je l’avoue je me foutais complètement de la fille sur cette photo et je me foutais également de deux stupides bagues qui après tout ne prouvaient rien. Pendant une minute j’ai cru qu’il allait éclater, balancer tout par terre, casser des tables, des vitrines, hurler … En gros être violent, mais à ma plus grande surprise il décida simplement d’ouvrir la bouche pour parler. Je préférais nettement ça, parce que bon entre nous si il avait opté pour la violence ça aurait eut de graves conséquences… et puis en fait je pense que pour finir – si j’avais su ce qu’il allait dire- j’aurais choisis la première solution ; Cri, objets cassés et autres.

      « Et ça, c'est des conneries ? Tu crois que je me suis amusée à aller voir Héphaïstos pour qu'il me les fasse, et que je te fasse une mauvaise plaisanterie ? Tu crois que je n'ai pas déjà assez de travail ? Que ma priorité c'est de faire chier le monde ? Je veux bien croire que ce que l'on a pu te raconter sur moi est vrai, mais je ne suis pas QUE le mec qui trie les morts aux enfers, je ne suis pas juste un gars bizarre, je suis aussi ton mari, j'ai un coeur, je t'aime et je croyais que tu me retournais ces sentiments hier encore ! Ce matin, Perséphone, tu peux me dire où tu t'es réveillée ? Tu vas me faire croire que ce n'était pas chez nous ? Que tu n'as pas vu le foutoir de la chambre de Séléné ? Que cette table en bois massif que tu as insisté pour acheter il y a trois mois alors que je la trouvais immonde ne t'appartient pas ? Que nous ne sommes pas allés dans les meilleurs fabricants de cuisine pour choisir la notre, dernier cri ? Que ces habits que tu portes ne viennent pas de ta garde robe ? Si tu n'es pas ma femme, expliques moi bon dieu de merde ce que tu foutais dans MA maison ! »

    Aussi stupide que ça puisse paraître étant donné la situation, la première chose à laquelle j’ai pensé a été ; « Bah quoi elle est très bien cette table en bois massif, je ne vois pas ce que tu lui trouve d’immonde. » En fait, je n’avais pas voulu tout de suite me plonger dans le vif du sujet, je n’avais pas voulu immédiatement essayer - encore une fois - de trouver une explication correcte à entendre et à dire. Mais bon quand faut y aller, faut y aller ! J’ai repassé dans ma tête chacun de ses mots, sans en oublier un, et j’ai fait le tri. Pour moi, il était clair qu’Hadès avait été voir Héphaïstos juste comme ça, pour lui demander de forger deux alliances, ça lui servait de preuves supplémentaires – hé une explication en moins ! Ensuite, moi je trouve qu’il est juste le type bizarre et glauque que tout le monde décrit. Comment es-ce que je pourrais aimer un mec comme lui ? Comment est-ce qu’il pouvait seulement prétendre avoir un cœur ? Et surtout comment pouvait-il affirmer en me regardant droit de les yeux que à peine hier soir moi aussi je lui disais que je l’aimais ? Tout ça était complètement insensé et pourtant il y mettait du sien pour que je le croie, ça je peux vous l’assurer ! Mais ça ne fonctionnerait pas avec moi. C’est vrai que par la suite j’ai un peu pataugé. Je ne savais pas ou je m’étais réveillée, je ne connaissais pas l’endroit ou j’avais dormis, j’avais juste eu un drôle de pressentiment quand j'avais vu les habits et les chaussures dans la penderie. Hadès marquait aussi un point en parlant de cette chambre, un vrai bordel ! Mais c’était un coup de chance. La plupart des adolescents sont désordonnés, il lui avait suffit de dire ça au pif – Ouf’ une explication de plus ! Je dois bien avouer que le ton qu’il avait employé pour prononcer sa dernière phrase me donna froid dans le dos. Je ne sais pas, je ne sais plus. Comment es-ce que je pourrais savoir d’ailleurs ? Je me suis réveillée complètement à l’ouest, comme si j’avais une gueule de bois et voilà que par hasard je tombais sur lui et qu’il me sortait ça et… non, ça n’avait aucun sens et il fallait absolument que j’aille voir une personne de confiance. Une personne qui pourrait m’expliquer ce qui se passe, quelqu’un qui ne me laisserait pas dans l’ombre. Plusieurs fois, j’ouvris la bouche, la referma. Je devais surement paraître très conne, mais je ne savais pas quoi lui répondre. Ce genre de discours ça laisse bouche bée.

      « Ecoute, tout ça me parait complètement insensé et tout ça est d’ailleurs insensé. Excuse-moi de te demander ça comme ça…Mais qu’es-ce que je foutrais avec toi ? Je veux dire, je me connais. Crois-moi tu serais surement une des dernières personnes avec qui j’aurais voulu passer le reste de ma vie, me marier et en plus avoir des enfants ! Tu n’es… Tu n’es tout simplement pas le genre de personne que je fréquente et surtout que j’aime fréquenter. Alors au moins explique-moi ça. Tu ne peux quand même pas prétendre que je ne me connais pas, au fond de moi je sais que tu n’es pas mon… mon style d’hommes…Enfin, niveau caractère du moins. »

    Il me fallait une explication et une bonne. Je sais très bien qu’elles sont mes gouts, ce que j’aime chez les hommes, ce qui m’attirent également chez les hommes. Okay, j’avoue que niveau physique, il a tout ce qu’il faut, mais niveau mental ce n’est pas mais alors vraiment pas du tout ça.


(Je me suis adaptée à tes couleurs parce que bon, fallait que tu prennes du bleu xD !)


Dernière édition par Perséphone C. Swan le Lun 30 Aoû - 21:21, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: « Y’a comme un Hic »♪ Pv Hadés ♥   « Y’a comme un Hic »♪ Pv Hadés ♥ Icon_minitimeJeu 26 Aoû - 3:01

      « Ecoute, tout ça me parait complètement insensé et tout ça est d’ailleurs insensé. Excuse-moi de te demander ça comme ça…Mais qu’es-ce que je foutrais avec toi ? Je veux dire, je me connais. Crois-moi tu serais surement une des dernières personnes avec qui j’aurais voulu passer le reste de ma vie, me marier et en plus avoir des enfants ! Tu n’es… Tu n’es tout simplement pas le genre de personne que je fréquente et surtout que j’aime fréquenter. Alors au moins explique-moi ça. Tu ne peux quand même pas prétendre que je ne me connais pas, au fond de moi je sais que tu n’es pas mon… mon style d’hommes…Enfin, niveau caractère du moins. »


    Ça, c'était dit. Et c'était uniquement après 2000 ans de vie commune que Perséphone lui disait que je n'étais pas le genre de personne qu'elle fréquentait. Merci chérie, c'est bon à savoir pour la prochaine fois. Pour la première fois depuis au moins cinq cents ans, je me sentais blessé. Imaginez qu'on vous enfonce un couteau dans le cœur et qu'on remue l'arme des heures durant sans soucis pour votre agonie douloureuse et longue, toujours plus loin et toujours plus profond dans vous même. Pourquoi elle m'aimerait ? À dire vrai, je n'en avais strictement aucune idée. J'avais toujours pris soin de lui faire des compliments, de lui dire qu'elle était belle, de rire avec elle, de lui montrer les raisons pour lesquelles je l'avais choisis. Elle était moins expressive sur le sujet. Elle ne m'avait jamais dis pourquoi elle était heureuse d'être mienne. Et ce n'était que maintenant que je m'en rendais compte. Si j'avais su, je lui aurais demandé plus tôt. Mais bon, voilà, je ne suis pas Janus ou Apollon, je n'ai malheureusement pas la capacité de voir le futur avant qu'il n'advienne. Je m'en tenais à la position plus modeste de dieu de l'enfer, et ce job me suffisait largement. Néanmoins, Perséphone n'était pas mécontente d'être avec moi, j'en étais sur. Elle avait toujours un large sourire en me voyant, une petite étincelle dans les yeux qui en disait long sur ses sentiments et qui me réchauffait les entrailles aussi facilement qu'un bain l'aurait fait . Elle avait cette faculté de me rendre ma confiance et mon sang froid en un clin d'oeil, c'était presque effrayant ce pouvoir qu'elle avait sur moi, encore maintenant, alors que la seule chose qu'elle souhaitait était de me voir loin d'elle, je devinais qu'elle me trouvait toujours désirable. C'était un plus comme un autre, n'est ce pas ? Puisque la photographie de Séléné n'avait pas eut l'effet escompté - elle avait à peine jeté un regard sur le visage de sa fille - il me fallait trouver une autre manière de la faire réagir. Et, Perséphone n'étant pas dans une phase sentimentale, je réfléchis en vitesse pour trouver une solution. M'avançant ostensiblement d'elle, je la forçais doucement à reculer contre l'un des murs du centre commercial. Nous étions tous les deux près - trop près sans doute - je sentais son souffle dans son cou.

      « Perséphone, si nous sommes ensemble c'est tout d'abord parce que toi et moi, on est aussi bizarres l'un que l'autre. Nous avons tous les deux nos tares, mais nous les acceptons et nous en rions tous les deux. Je peux te garantir que tu n'es pas facile à vivre, tu es même une vraie chieuse bordélique, je suis tout le temps obligé de repasser derrière toi quand tu vas dans une pièce car tu laisses tout traîner. Je ne suis pas beaucoup mieux, je t'avoue qu'il m'est arrivé d'être colérique, violent, maniaque. Mais quoi qu'il arrive, on est toujours sur la même longueur d'onde, on a souvent les mêmes idées idiotes en même temps et surtout .... »


    Je la plaquais définitivement contre la cloison et l'embrassais avec force. Oh oui, peut être qu'elle ne m'aimait plus mais son corps réagissait toujours de la même manière à mon contact, je le sentais. C'était toujours agréable. Bon, d'accord, elle faisait des efforts pour me repousser, mais elle était tellement plus faible que je la sentais à peine, et au fur et à mesure elle sembla décider que se laisser aller était la meilleure solution. Jolie petite déesse, si tu crois que je vais lâcher l'affaire aussi vite , tu te mets le doigt dans l'oeil. Quelques secondes j'eus peur de me transformer en vieux pervers dégoutant, mais bon, après tout il s'agissait de ma femme, c'était normal que je l'embrasse et que des idées bizarres me viennent à l'esprit ! Bon , d'accord, pas des idées bizarres, des idées pleines de sous-entendus en rapport à notre position actuelle, puisque d'une main je l'avais obligé à mettre ses jambes autour de mes hanches et qu'elle n'y avait pas opposé de grande résistance. Cela me ramenait à deux mille cinq cents ans auparavant, quand je l'avais épousée contre son grès. Il lui avait fallut du temps pour lui faire dépasser les à priori et les préjugés qu'elle avait sur moi à la base pour que finalement elle apprenne à m'aimer. Cependant, l'attirance, elle, avait été là depuis le début et même avant que je la kidnappe. Mademoiselle - Madame - pouvait me le jurer autant qu'elle le voulait, mais elle me désirait la coquine ! Ahem . Il se détacha d'elle avec un sourire aux lèvres.


      « Et NON je ne suis pas homosexuel ! »


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MessageSujet: Re: « Y’a comme un Hic »♪ Pv Hadés ♥   « Y’a comme un Hic »♪ Pv Hadés ♥ Icon_minitimeLun 30 Aoû - 21:41

      « Perséphone, si nous sommes ensemble c'est tout d'abord parce que toi et moi, on est aussi bizarres l'un que l'autre. Nous avons tous les deux nos tares, mais nous les acceptons et nous en rions tous les deux. Je peux te garantir que tu n'es pas facile à vivre, tu es même une vraie chieuse bordélique, je suis tout le temps obligé de repasser derrière toi quand tu vas dans une pièce car tu laisses tout traîner. Je ne suis pas beaucoup mieux, je t'avoue qu'il m'est arrivé d'être colérique, violent, maniaque. Mais quoi qu'il arrive, on est toujours sur la même longueur d'onde, on a souvent les mêmes idées idiotes en même temps et surtout .... »

    J’ai écouté chaques mots attentivement, en essayant de les décortiquer un par un. Plus il parlait, plus je fronçais les sourcils. Je ne m’étais auparavant jamais considérée comme une personne étrange… Parfois, je me dis que je pense trop et trop souvent, du fait j’avais complètement oublié que j’étais quasi collée contre la paroi d’un magasin en plein lieu public et qu’à la place de rester là, à l’écouter patiemment j’aurais déjà du prendre mes distances. J’aurais surement alors pu éviter ce qui allait se produire ensuite mais ce ne fut pas le cas, malheureusement. En une fraction de seconde je me suis cette fois-ci retrouvée complètement plaquée contre l’un des murs du centre commercial avec les lèvres d’Hadès écrasées contre les miennes. J’ai alors eu l’impression que chaques parcelles de ma peau irradiaient de plaisir, étrange n’est-ce pas ? Mais moi aussi j’étais rapide et il ne m’a même pas fallut une seconde pour me reprendre parce qu’il était clair que je ne pouvais pas me laisser faire et en plus lui donner raison. Je l’ai alors poussé autant que je le pouvais, j’ai ensuite essayé de le frapper mais rien n’y faisait, il ne semblait même pas bouger d’un millimètre, d’un centième de millimètre… D’ailleurs j’étais presque certaine que les clients du Rockefeller center ne remarquaient pas que j’étais en train de me débattre, j’étais tellement faible comparée à lui, j’avais même le pressentiment de me faire plus mal à moi en le frappant qu’à lui. J’ai fini par me laisser aller puisque ma raison venait totalement de me lâcher sans crier gare. Vous savez, cette partie de mon être qui me disait quelques minutes auparavant ; prends tes jambes à ton cou, c’est ton oncle, l’inceste ce n’est pas ton genre loin de là… J’avais l’impression d’avoir embrassé le dieu des enfers des centaines et des centaines de fois et bien plus encore. Je me sentais à la fois totalement impuissante et comblée… C’est alors que je me suis dis ;« Ouh la la, y’a quelque chose qui cloche. Mais enfin Perséphone reprend toi ! Regarde ce que tu es en train de faire ! », j’ai alors encore une fois tenté de résister quand Hadès a pris la décision de me soulever d’une main pour placer mes deux ( :p) jambes autour de ses hanches. Sauf qu’encore une fois la raison m’a bien vite fait faux bond et je me suis retrouvée dans une position plus qu’évocatrice sans avoir presque rien fait pour empêcher cela. Je ne me contrôlais plus et je peux vous assurer que c’est quelque chose de vraiment horrible, je répondais à ses baisers j’y prenais du plaisir, j’avais l’impression que ça durait depuis une éternité puis soudain… c’était fini, mes pieds étaient reposés sur le sol et Hadès affichait un sourire rayonnant, moqueur, de vainqueur… Je n’aimais pas ce genre de sourire, vous savez le genre satisfait, qui peux vous mettre hors de vous ou au contraire vous gêner. Je dois bien avouer que la colère se mélangeait au dégout, à la gêne et en même temps à l’extase – mot peut-être un peu trop fort pour la situation sois disant passant. Et sans que je m’y attende il m’a sortit un truc complètement… déroutant ?

      « Et NON je ne suis pas homosexuel ! »

    OKAY. Totalement hors contexte. Je l’ai regardé d’un air perplexe. C’est bon, je crois que j’ai compris qu’il n’était pas homosexuel, enfin il venait de me le prouver même si je n’en avais jamais douté (sauf sur la cb). D’ailleurs cette idée ne m’avait pas effleuré l’esprit, loin de là, mais bon si il ressentait le besoin de l’affirmer et de le crier haut et fort que voulez-vous que j’y fasse ? J’ai alors lâché bêtement ;

      « Quel rapport ? »

    Bref. Je n’avais même pas envie de le savoir parce que c’est à ce moment précis, que je me suis rendue compte que quelques personnes nous observaient. Allez savoir pourquoi, aucune d’elles ne semblaient outrées, au contraire j’avais l’impression qu’elles étaient béates, complètement fascinées par le dieu des enfers et moi. Ils n’avaient jamais vu deux personnes s’embrasser ou quoi ? Bon d’accord surement pas deux dieux, mais je ne savais pas que ça pouvait provoquer un tel effet sur les mortels. J’ai sentit le rouge me monter aux joues, je ne savais plus ou me mettre ni que faire et que dire. J’étais toujours contre le mur encadrée par les bras d’Hadès et je n’avais qu’une seule chose en tête ; « partir ». Non en fait ce n’était pas du tout la seule chose que j’avais en tête, je voulais surtout ne plus me rendre ridicule et prouver à Hadès qu’il ne m’avait pas perturbée loin de là, mais ça paraissait plus compliqué que ce que je ne le pensais. J’avais beau avoir envie de partir mes jambes picotaient et je ne voulais pas risquer de me planter en osant seulement mettre un pied devant l’autre. Il fallait vraiment que je me reprenne et vite, le silence commençait à s’installer et c’était gênant, enfin pour moi, par pour lui apparemment.

      « Qu’est-ce que… Pourquoi tu… »

    Super. Maintenant je n’arrivais plus à aligner deux mots. Plus stupide que moi à cet instant tu meurs, mais je me sentais complètement déroutée… Enfin heureusement, j’étais quand même compréhensible, il fallait être bête ou complètement à côté de la plaque pour ne pas arriver à continuer mes phrases, ou plutôt mes interrogations qui se résumaient à ; « Qu’est-ce que tu viens de faire ? Pourquoi tu as fais ça ? » . « Qu’est-ce que tu viens de faire ? » plutôt ridicule comme question vous ne trouvez pas ? Bref. La c’était le moment ou je devais arrêter de penser et bouger, parce que figurez-vous que si je continuais à penser c’était moi qui allait lui sauter dessus et il ne valait mieux pas. J’avais ma dignité et je ne voulais surtout pas lui faire ce plaisir là, il serait vraiment trop heureux et satisfait. Mais qu’est-ce que j’en mourrais d’envie… la raison m’est quand même finalement revenue ; « Je ne dois pas faire ça, je ne l’aime pas, nous ne nous aimons pas, c’est mon oncle, concentre-toi, reprend-toi voyons ! Y’a à peine cinq minutes je voulais me barrer et je veux toujours me barrer oui je veux partir…non je ne veux pas ! M’enfin ! Si je le veux, d’ailleurs je vais y aller, Je ne sais pas ou mais loin de lui parce que faut vraiment que je ne le recroise plus si je ne veux pas finir dans son lit ! ». Ahhh ! C’est bon ça allait mieux, enfin un peu. Je me suis passé la main dans les cheveux avant de me décider à parler ;

      « Il faut que j’y aille, je ne sais pas ou mais ça vaut surement mieux… »

    Pourtant je restais là et ce n’était pas difficile à comprendre pourquoi. Malheureusement je devais bien avouer que je ne savais vraiment mais alors vraiment pas du tout ou aller, alors j’espérais simplement que de lui-même il déciderait enfin d’arrêter de m’oppresser, d’enlever ses bras situé autour de moi contre le mur et surtout qu’il m’indiquerait au moins ou je pourrais me diriger, me rendre.


( Attention je préviens que j'ai relu en quatrieme vitesse xD )
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MessageSujet: Re: « Y’a comme un Hic »♪ Pv Hadés ♥   « Y’a comme un Hic »♪ Pv Hadés ♥ Icon_minitime

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