Ce fut environ une quinzaine de minutes, que Séléné et moi arrivions à Central Park, dans un endroit assez isolé. On avait choisi un endroit en retrait pour qu'on puisse se baigner, sans qu'un gardien vienne nous voir, et nous dire de sortir de l'eau. On avait pas tellement préparé cette baignade, c'était... La surprise de la journée surement, mais bon, on avait nos sous-vêtements en guise de maillot de bain, ça ferra l'affaire. Je croisais les doigts pour que l'eau soit bonne. Même si j'étais né il y a peu de temps, j'avais eu le temps d'apprendre à nager, avec ma mère. On allait souvent se baigner dans la piscine du centre de New York City, alors je n'avais pas à avoir peur. Et puis je n'étais pas du genre à être peureux comme gars, et j'aimais toutes les nouvelles expériences, qui me permettaient de découvrir les bienfaits que la vie pouvait nous offrir à chacun.

Nous étions plutôt bien « cachés » si je pouvais dire ainsi. On aurait dit que nous étions sur une petite île. Des buissons faisaient office de barrière entre notre « île » et Central Park. Nous devions avoir envions deux mètres sur deux de terrains, ce qui nous convenait parfaitement.

HELIOS « J'espère que tu n'es pas pudique, car je suppose que tu n'avais pas prévu de maillot ! Tout comme moi d'ailleurs... » m'exclamais-je en souriant.

Pour ma part, certain pouvait penser que j'étais pudique, vu mon âge, mais pas tellement nous. En même temps, étant le fils de la muse de la poésie lyrique et érotique, je n'avais pas tellement de complexe pour ce qui était de mon physique. Je me trouvais plutôt bien dans mon corps. Par rapport aux humains, je me trouvais mieux, bien évidemment. Je commençais à enlever mon tee-shirt. J'avais perdu mon ventre de bébé, encore heureux, et celui-ci avait fait place à deux carrés d'abdominaux. Je n'en avais pas plus, car j'étais encore un nouveau né, donc je n'avais pas non plus la carrure d'un sportif. Par la suite, je déboutonnais mon jean Levis, soigneusement choisi par Madame Klein, ma mère, et me retrouvais donc en simple boxer,

HELIOS « Rejoins moi dans l'eau ! » m'écriais-je en courant, puis en faisant une bombe.

J'avais aussi fait exprès de faire une bombe dans l'eau, afin d'éclabousser Séléné par la même occasion. Ça la mettrait surement de bonne humeur... L'eau était assez froide, mais en ce temps ensoleillé, ça nous rafraichissant plus qu'autre chose. Je fis quelques brasses puis, me plaçais sur le dos, attendant la demoiselle. Je lui souriais. Enfaite elle était vraiment à mon goût. Étrangement, je me sentais proche de cette fille.

Je tenais toujours Hélios par la main quand nous sommes arrivé dans central parc. L'endroit était désert, il avait trouvé un petit coin ou personne ne passait et où nous pourrions nous baigner tranquillement. «J'espère que tu n'es pas pudique, car je suppose que tu n'avais pas prévu de maillot ! Tout comme moi d'ailleurs...» Moi? Séléné Swan, pudique? Bien sûr que non, lui non plus j'eus l'impression car il c'est déshabiller tout de suite après, me donnant la vision de son corps vraiment bien fait même si il n'était pas super musclé. Là je me suis vraiment dit que si Hélios était humain, il était le plus divin de tout les mortels!
Il à sauté dans l'eau en faisant une bombe, je n'étais pas encore déshabillée et je me suis retrouvé trempé. Je lui est lancé un regard noir mais en rigolant. J'ai enlever mon short puis il a dit «Rejoins moi dans l'eau !» Je me suis empressé d'enlever mes chaussures et mon T-shirt

SÉLÉNÉ «Oh tu vas voir toi! J'vais t'apprendre à me mouiller!»

J'ai sauter dans l'eau et c'est là que je me suis rendue compte que je n'avais pas encore appris à nager. Je n'avais pas peur de l'eau non, j'adorais prendre des bains et tout mais là j'avais pas pied. J'ai laissé échapper un petit rire strident et alors Hélios c'est approché de moi. Je sais pas trop comment j'ai fait mais j'ai réussis à arrivé dans ses bras. Bon je l'avoue, mon geste n'étais pas à cent pour cent innocent. J'ai passé mes bras autour de sous coup et j'ai dit en rigolant

SÉLÉNÉ «Je crois que... Heu, je sais pas nager!»

SÉLÉNÉ «Je crois que... Heu, je sais pas nager!»


C'était un peu bizarre qu'elle me dise cela... Généralement les adolescentes de dix-sept ans, aussi bien foutue qu'elle, étaient censées se pavaner sur le bord de la mer, et faire comme dans Alerte à Malibu non ? Ce qui tombait bien, c'était que du haut de mes un mètre quatre-vingt, oui il fallait le dire, j'avais carrément grandi depuis ces deux dernières semaines, j'avais pieds, et l'eau m'arrivait avant mon cou. Sauf que ben... Séléné elle, devait surement faire un mètre soixante cinq grand maximum, et ne savait pas nagé en plus de cela ! Alors je repris, gaiment.

HELIOS « C'est pas grave, je suis toujours là au pire ! » répondis-je alors qu'elle enroulait ses deux bras et ses deux jambes autour de moi.

Je me demandais quand même comment cela se faisait qu'elle ne savait pas nager. Encore un mec comme moi ça se comprenait, je n'avais qu'un mois et demi... Putain ? Si ça se trouve elle est comme moi non ? Elle avait vu aussi le mec mort tout à l'heure et là elle ne sait pas nager... Mouais, je mènerais tout de même mon enquête sur ce sujet là, pensais-je. C'était aussi là que je m'étais rappelé que ma mère m'avait dit que j'étais loin d'être le seul demi-dieu... Alors je me posais quelques questions. Mais il valait mieux profiter de ce moment pour s'amuser plutôt que de s'ennuyer à se poser des questions sans réponses..

HELIOS « Bon bah, maintenant retiens ton souffle. » ordonnais-je.

Je n'étais pas le mec qui était intimidé quand une fille était trop proche de lui. Il fallait l'avouer, nos deux peaux nues se touchaient, parfois se caresser « malencontreusement ». Je déposais mes mains sur la taille de Séléné, et bizarrement, j'appréciais ce contact entre nous. Ce contact qui nous rapprochait.. Nous étions à ce moment là, bien plus que des amis. Je ne saurais comment l'expliquer. Elle retenait son souffle, ça se voyait à sa tête, d'ailleurs j'avais émis un petit rire, un peu moqueur, mais tout de même amical. Je nous fis aller sous l'eau. D'ailleurs j'en avais profiter pour la prendre pleinement dans mes bras. J'appréciais vraiment ce contact entre nous... C'était frustrant en plus. D'un côté il y avait Volupté que j'aimais beaucoup, je ne saurais dire si c'était comme une amie ou non, et Séléné, avec qui un sentiment étrange se développait. J'avais l'impression qu'on était bien plus que de simples amis, et je n'arrivais jamais à déterminer quoi. Je ne savais pas avec laquelle j'avais de réels sentiments, des sentiments amoureux...

Quelques secondes après, je nous fis remontrer, et je secouais vite fait ma tête pour éviter que l'eau me rentre dans mes yeux bleus. Je lui souriais.

HELIOS « Comment ça se fait que tu ne saches pas nager ? » soufflais-je un moment après. Cela me semblait vraiment bizarre en faite.

Jamais depuis ma naissance je ne m'étais sentit aussi bien. D'accord que n'ai que quelques semaines et donc je n'ai pas vécue tellement de truc, mais depuis ma naissance je crois que ce moment dans les bras d'Hélios était celui que je préférait. Le fait qu'on soit à moitiés à poil aurait put être gênant, je pense en fait que pour la plupart des gens ça aurait été même pas envisageable mais tout les deux on avait cette façons de ne pas être gêné, un peu comme les jeunes enfants. Ce que techniquement j'étais, mais lui j'avoue que c'était bizarre. «Bon bah, maintenant retiens ton souffle.» Il m'a prit dans ses bras, j'ai coupé ma respiration, il a rigolé parce que je crois que je l'ai coupé un peu trop tôt mais sans même que j'eus le temps de dire quoi que se soit nous nous sommes retrouvé sous l'eau.
Là j'ai eus envie de l'embrasser, il aurait suffit que je tourne la tête et j'aurais put, mais je ne l'ai pas fait, peux être que j'avais peur? Peux être que je voulais que se soit lui qui m'embrasse... En tout cas, nous sommes remonter à la surface certes très proche l'un de l'autre mais sans que rien ne se passe.
Quand ma tête est sortit de l'eau j'ai fait mine de manquer d'air, je suis immortelle donc techniquement je ne suis pas dans l'obligation total de respirer. Hélios lui à secoué sa tête m'éclaboussant avec les gouttes qui aillait dans tout les sens. «Comment ça se fait que tu ne saches pas nager ?» J'aurais put lui répondre que c'était parce que je n'avais qu'un mois et que du coup je n'avais pas trouvé le temps d'apprendre mais c'était pas une super idée. OK je me doutais bien qu'il n'étais pas humain, je ne suis pas débile, mais je n'étais pas obligé pour autant de lui dire que j'étais une Déesse. J'ai alors carburé pour trouver une excuse qui tenait la route, je devrais lui mentir,j'avais un peu honte mais là je n'avais pas trop le choix...

SÉLÉNÉ «Bah en fait j'ai heu... J'ai pas trop trouvé le temps et heu... Bah donc du coup je sais pas nagé, et puis les mouvements dans l'eau... C'est pas mon truc...»

Le fait que je sois gêné était très rare, ça ne m'arrivais que très rarement et je pourrais compter le nombres que fois où je l'avais été sur les doigt de mes main. Mais le fait est que là à ce moment prévis, même si j'étais dans les bras d'Hélios, j'avais honte. Je n'arrêtais pas de mentir à tout le monde, je n'avais même pas un ans et j'avais déjà raconté des bobard à des tonnes de gens et ça en plus avec une facilité déconcertante. J'ai regarder dans les yeux le beau brun qui me tenait dans ses bras, ils étaient d'un bleu magnifique. Pendant quelques instant je me suis perdu dans son regard puis reprenant mes esprit je lui es sourit.

SÉLÉNÉ «Tu sais quoi, les raison pour lesquelles je n'ai pas appris à nager on s'en tape! Mais on va quand même remédier à ça. Tu voudrais pas me servir de professeur? Tu vas voir j'apprends vite!

SÉLÉNÉ «Tu sais quoi, raison pour lesquelles je n'ai pas appris à nager on s'en tape! Mais on va quand même remédier à ça. Tu voudrais pas me servir de professeur? Tu vas voir j'apprends vite!»

Personnellement, je n'avais pas trop envie de lui servir en guise de professeur de natation. Enfaite je ne savais pas tellement comment je faisais pour nager, mais je nageais. C'était tellement banale pour moi, que je n'arrivais pas à expliquer. Je voulais vraiment rester là, à la scruter, et à rester dans l'eau, avec elle dans les bras. Je me disais aussi que ça m'arrangeait vraiment qu'elle ne sache pas nager, c'était aussi pour ça qu'elle se trouvait dans mes bras non ? Et je ne voulais pas la lâcher de si tôt. Et mon instinct de dragueur était souvent un très bon instinct...

HELIOS « Je veux pas que tu saches nager ! » répondis-je en souriant normalement.

A ce moment là, Séléné avait fait un peu une tête choquée : elle ne comprenait pas tellement ma réponse... C'était pourtant pas compliqué non ? Nous étions tous les deux en sous-vêtements, en train de se baigner, et notre peau était en contact permanent depuis une petite dizaine de minutes. Mais j'étais loin de m'en lasser pour tout vous dire. Elle me souriait, toujours avec cette tête qui ne me comprenait pas...

HELIOS « Tu ne te doute vraiment de rien ?! » m'exclamais-je, faisant semblant d'être outré.

C'était vraiment bizarre, j'avais l'impression d'être le plus gros dragueur de l'univers... J'avais surement hérité ça de ma mère, car je ne connaissais pas tellement mon paternel. Elle me fit un signe négatif de la tête, puis je soupirais, faisant semblant d'être exaspéré. Alors, d'un air amusé, ce n'était pas un baiser que je lui offrait en premier temps. Mais je lui mordillais sa lèvre inférieure avec mes dents, sans pour autant lui faire de mal, ce n'était pas mon but. Puis ensuite, je me lançais enfin, je me « jetais à l'eau », c'était le cas de le dire, je commençais à déposer mes lèvres sur les siennes, doucement, et soigneusement. Je ne sais pas ce que je ressentais exactement à ce moment, tellement que mon coeur battait à trois mille kilomètres heures. Mon estomac se retournait dans tous les sens. Je savais pas si c'était de l'amour ce que je ressentais là, mais en tout cas, j'adorais cette sensation. Et ça n'avait pas l'air de lui déplaire.

Helios a resserrer son étreinte sur ma taille «Je veux pas que tu saches nager !» Sur le coup je n'ai pas compris, j'ai fait une mine interrogatrice. Pourquoi ne voulait-il pas que je sache nager? Voulait-il que je reste une pauvre ignorante qui est obligé d'être porté dans l'eau quand elle n'a pas pied? Attendez, peux être sous entendait-il qu'il voulait que je reste dans ses bras? Mais je n'était sûr de rien, alors j'ai fait celle qui ne comprenait pas. «Tu ne te doute vraiment de rien ?!» L'idée que je lui plaisait c'est plutôt confirmé. J'ai continué à faire ma petite naïve.

Et puis, doucement il c'est rapproché de moi, puis il m'a mordillé la lèvre, j'ai frémi, puis essayant comme je le pouvais de rester droite j'ai resserré mes bras autour de son cou. Et le moment fatidique est arrivé, il a commencé à m'embrasser.

C'était comme... Comme rien que vous puissiez avoir connus, ce n'étais pas humain beaucoup trop parfait pour l'être, en règle général, Hélios était trop parfait pour être humain. J'avais en même temps l'impression de voler et de couler. Pour d'écrire ce moment je crois que ce qui s'en rapproche le plus c'est un feu d'artifices. Mais pas le petit feu qu'on fait chez sois avec les pétard qu'on a acheter dans un magasin du coin, non c'était le feu d'artifice qu'on faisait devant les plus grand de ce monde! Digne du fête dans l'Olympe, du moins je pense vue que je n'y suis aller qu'on vois et je ne mesurais que vingt centimètre à ce moment là. Mais passons. Bien sûr je lui es rendue son baisé, il aurait fallut que je sois folle pour ne pas lui rendre.

Pour tout vous avouez je ne sais pas combien de temps notre baisé à durée, j'avais une perception du temps étrange d'accord mais là j'avais vraiment l'impression que le temps c'était arrêté, que plus rien autour de nous ne bougeait.

Quand enfin nos lèvres se sont décollé on est resté là l'un en face de l'autre. Je le regardais dans les yeux, je ne savais pas trop quoi dire, alors la seul chose qui m'ai venue c'est «Waw!» Il à sourit, j'ai fait la même chose puis j'ai dit avec une petite voix en rigolant tout de même

SÉLÉNÉ «J'aime bien cette méthode pour apprendre à nagée! En plus le prof est plutôt mignon»

Après avoir donné mon baiser, notre premier baiser, - c'était plutôt important pour moi les premiers baisers, ne me demandaient pas pourquoi, je ne saurais vous répondre -, Séléné l'avait approfondi, ce qui ne me déplaisait, oh, bien au contraire. A ce moment là, même que dans ma tête j'avais prié le Dieu de l'amour, - Je ne savais même pas qui c'était d'ailleurs – mais je l'avais remercié. J'avais aussi remercié ma mère de m'avoir donné un physique qui plaisait beaucoup aux femmes, car j'avais réussi à « dompter » en quelque sorte, Séléné ! C'était vraiment étrange de penser à autre chose, quand on embrassait quelqu'un. En tout cas, ce n'était pas pour cela que je n'avais pris aucun plaisir, oh que non. J'avais trop aimé même mon petit coup du « je lui mordille la lèvre » je savais que ça allait marcher. En même temps j'avais le don de percevoir ce qui allait marcher, ou non dans la drague ! C'était vraiment mon domaine ça !

SÉLÉNÉ «J'aime bien cette méthode pour apprendre à nagée! En plus le prof est plutôt mignon» me disait-elle.

HELIOS « En même temps comment ne pas craquer quand notre élève est divinement belle ? » demandais-je en souriant hilare.

Je savais que Séléné était pas normale, enfin, qu'elle faisait partie d'un autre monde comme le mien. Ce n'était pas possible une humaine comme elle, elle les dépassait toutes au niveau de la beauté, et puis même, elle ne savait même pas nager, enfin tout cela me paraissait clair à présent. J'avais aussi fait exprès d'accentuer sur le mot « divinement », pour savoir si elle allait réagir. Pendant peut-être une fraction de seconde, elle avait fait une tête un peu bizarre, du genre « putain, comment il sait ? », et après elle avait fait une tête, de comme si il ne s'était rien passé en me remerciant d'un regard rempli de tendresse.

Je commençais à me diriger vers le rebord du lac, afin de retourner vers nos vêtements. En plus, nous devions à tout prix sécher, histoire d'être frais et dispo quand nous rentrerions à la maison. J'étais chez ma mère en plus en ce moment, et elle m'épiait souvent, donc je ne savais pas trop comment elle allait réagir si je lui disais que je m'étais baigner dans Central Park, - ce qui est interdit – en plus de cela avec une jeune fille pour qui j'ai le béguin, à mes un mois et demi ! Je menais vraiment une vie de malade, mais j'adorais ça. Je portais alors Séléné pour qu'elle s'assoit sur le rebord, puis je me remontais par la suite. Nous nous allongions tous les deux dans l'herbe, puis je la scrutais. J'admirais vraiment ses traits... Sans m'en rendre vraiment compte, je lui ressemblais un peu. Nous avions un air de famille, mais aucun de nous deux ne le savait, ou le reconnaissait... Nous étions allongés entrain de nous fixer silencieusement. Une de mes mains venait se poser sur la taille de Séléné, puis remontait jusqu'à son ventre en la caressant doucement. Je savais que je ressentais quelque chose pour elle, mais il était certainement trop tôt encore pour le savoir. Je rapprochais de nouveau mes lèvres vers les siennes, pour goûter encore à sa bouche. Je ne me lassais pas de ce goût fruité, que je trouvais réellement appétissant.

Je n'imagine même pas la tête que j'ai d'us faire «En même temps comment ne pas craquer quand notre élève est divinement belle ?» Je suis passer d'un état de béatitude à une espèce de mou bizarre mais ça n'a duré que quelque seconde, j'ai vite repris le dessus et j'ai rigolé l'air de rien. Vue la façons dont il l'avait dit on aurait vraiment dit qu'il savait. Je n'ai rien dit en espérant que c'était juste un impression.
Je commençais à avoir froid, et comme lisant dans mes pensé Hélios c'est dirigé vers le rivage, me portant jusqu'au rebord. Ensuite nous nous sommes allongé sur l'herbe pur que nos sous-vêtements sèche. Je regardais Hélios, c'était étrange comme j'avais l'impression de le connaître plus qu'on pouvait le croire, enfin disons que j'avais vraiment l'impression d'être proche de lui, autant physiquement que psychologiquement.
Il a posé une main sur ma taille, celle ci allait et venais librement de haut de mon ventre à mon nombril, je le laissais faire ça ne me dérangeais pas au contraire. Et puis à un moment il arrêté pour venir m'embrasser, j'ai passer ma main dans ses cheveux encore mouillés se qui a fait tombé des gouttes sur ma poitrine, j'ai sursauter parce que l'eau était très froide, il a sourit. Avant qu'il ne se re-allonge à mes coté j'ai attrapé sa main et je me suis assise, j'ai pris l'air le plus plus sérieux que je savait faire et j'ai caressé le dos de sa main.

SÉLÉNÉ «Hel' tu sais si ont, enfin si on décide de devenir plus, je crois qu'il faudrait que je te dise quelque chose...»

Il a ouvert de grand yeux, mais il n'avait pas l'air étonné parce que j'avais quelques chose à lui dire, en fait il avait l'air de savoir de quoi j'allais parler, il devait seulement être étonné que je lui dise si vite... Mais je voulez vous, Hélios me plaisait et je lui faisait confiance, en plus j'étais maintenant persuadé qu'il était comme moi. J'ai resserré ma main dans la sienne. J'avais peur qu'il me prenne pour une folle, je savais pas trop comment m'y prendre.

SÉLÉNÉ «Tu sais je suis pas... Enfin je veux dire que... Enfin non je vais pas commencer comme ça, il a rigolé avec tendresse, Tu connais quelques truc sur les dieux de l'Olympe? Hadès, Zeus, Poséidon? Et bah en fait je suis... Enfin se que je veux dire c'est qu'on choisie pas vraiment sa famille, c'est sûr j'aime ma famille, elle est cool mais elle est compliqué. Pfiou c'est chaud, en fait mes parents sont... J'ai marquer une pause, je redoutais un peu ce moment, c'est Hadès et Perséphone, tu vas peu être me prendre pour une folle mais je suis la fille du Dieu des enfers. Et surtout, j'ai un mois»

Jusqu'au moment où j'ai dis que je n'avais qu'un mois Hélios n'avait pas l'air super étonné que ça, mais par contre quand je lui es donnée ma date de naissance il a rigolé, je n'ai pas compris pourquoi? C'est bon je m'étais trompé, il me prenait pour une folle! J'avais tous gâché! Qu'elle idiote je fais! Je l'ai regarder l'air minable, un petit mélange de honte, et de supplication de me croire.

Je sais qu'à ce moment « fatidique », ce moment de révélation, je n'étais pas censé rire. Mais je m'en doutais tellement, et ses explications étaient tellement floues, que j'en riais. Elle me faisait vraiment rire, mais j'étais loin de me moquer d'elle, oh non, elle me plaisait vraiment cette fille. Pour ma part je ne savais pas trop comment je pourrais lui dire que je ne savais pas qui était mon père... Je savais que ma mère était une muse, je savais toute ces origines, mais mon père, je ne connaissais même pas mon prénom, à cause de ma mère. Elle ne voulait pas me dire qui il était, ce qui me frustrait depuis un mois et demi. C'était dur de ne pas savoir qui il était, mais j'avais réussi à vivre sans, tout comme lui d'ailleurs. Mais je savais que si elle me disait qui elle était réellement, je devais aussi lui révéler mon identité, c'était donnant, donnant.
Je me redressais donc à mon tour, puis gardais ma main dans la sienne, prenant une sorte de grande inspiration.

HELIOS « Pour tout te dire, je m'en doutais un peu que tu faisais partie de mon monde ! » avouais-je en souriant. « Comme tu avais l'air de croire, je ne te prends pas du tout pour une folle, tu étais juste amusante à t'emmêler les crayons dans tes explications ! » assurais-je d'un sourire amusé. « Pour ma part, je vais te dire tout ce que je sais à propos de mes origines : ma mère est Erato, Muse de la poésie Lyrique et Érotique, c'est grâce à elle que j'arrive à charmer énormément de filles, et parfois des gars, mais je suis plus intéressé par le sexe féminin, je te rassure ! » fis-je en riant. « Je ne sais pas qui est mon père, ma mère ne veut pas me le dire, car il m'a laissé tomber surement, il nous a laissé tomber. » rectifiais-je. « Mais en tout cas, tout ce que je sais, c'est que j'arrive à parler aux morts, et qu'ils sont toujours là pour m'aider, je crois que je peux carrément les faire venir sur terre, mais je n'arrive pas à dire comment. Et pour finir, je suis né il y a un mois et demi ! » m'exclamais-je toujours autant amusé.

Maintenant, elle savait vraiment tout sur moi. Je lui avais révéler mon plus grand secret. J'espérais simplement que ma mère ne me disputera pas pour avoir dit d'où je venais. Elle m'avait interdit d'en parler, mais juste aux humains... Pas aux gens comme moi, donc je priais à moitié pour qu'elle ne m'en veuille pas.. De toute manière, je savais que Séléné était comme moi, je savais tout simplement qu'elle faisait partie du même monde que moi, car nous étions comme reliés ensemble. Par un amour naissant, peut-être, mais aussi par un autre lien, que je ne savais expliquer. C'était comme si je la connaissais déjà avant qu'elle me dise qui elle était. J'avais l'impression qu'on se ressemblait tant physiquement, que moralement, et ça, je ne pense pas que ça faisait parti de cet amour naissant !

Erato, mais bien sûr, maintenant qu'il me le disait tout paraissait claire. Il avait cette grâce qu'on les muse, pourtant j'avais déjà vue Erato, une seul fois, je ne lui avais pas parlé car je ne sais pas pourquoi mes parents me l'avait interdit mais je me souvenais de sa beauté. Hélios lui ressemblais beaucoup. Je lui es sourit, l'air soulagé, puis je l'ai embrasser.

SÉLÉNÉ «Si tu veux je t'aiderais à trouver ton père, je sais me monter convainquante! Ça nous aidera»

Et c'est là que j'ai réagis. J'avais un petit copain, je sortais avec Andromaque et je venais de me baigner avec Hélios en sous-vêtement dans central parc. Pire, on c'était embrassé et pas qu'une fois en plus . Je me suis sentie un peu honteuse, j'avais froid mais pas parce que j'étais presque nue et trempé dans un parc mais car je me sentais mal, le froid venait de l'intérieur. J'ai baissé la tête, Hélios m'a regarder l'air étonnée, il ne devait pas comprendre se changement de comportement si soudain. Moi, je fuyais son regard, j'étais tiraillé entre l'envie de me rapprocher de lui et l'envie de ne pas faire du mal à Andromaque. J'ai lâché sa main puis je l'ai reprise et aussi vite qu'elle était venue ma honte c'est dissipé, «On s'en fiche finalement, profitons de l'instant présent!» me disais-je.

SÉLÉNÉ «Excuse moi, il y a Andromaque et tout, mais on s'en fiche! N'empêche tu trouve pas sa bizarre que tout les deux on est que quelques semaine d'écart? Je pensais être la seul lycéenne qui a moins d'un an.»

Sur c'est parole j'ai rigolé. Soudain un vent glacé à fait voler des feuilles et m'a fait tremblé, j'avais sérieusement froid, je doutais qu'un Déesse puisse tomber malade mais si je ne me rhabillait pas très vite j'allais devenir un glaçon vivant.